TRIBUNE LIBRE – Le collectif Grenoble à cœur attaque la politique de circulation menée par la Ville de Grenoble, responsable selon lui d’une perte d’attractivité des commerces grenoblois. Lesquels afficheraient une vacance supérieure à la moyenne nationale et à celle des villes comparables, contrairement à ce qu’affirme la majorité municipale.
C’est officiel : 12 % des commerces sont vacants à Grenoble ! Le chiffre date d’il y a six mois et il augmente chaque jour. Douze pour cent, est-ce « en ligne avec la moyenne nationale et d’autres villes comparables », comme le prétend Mme Barbara Schuman, élue à la Ville et à la Métro 1Avec Éric Piolle à la Ville avant d’avoir été exclue, et conseillère déléguée au commerce à la Métro, dans le magazine Présence de février ?
Absolument pas. Toutes villes petites ou grandes confondues, la moyenne française est à 10,6 % et celle de la région à 9,7 %. Normalement, au lieu de moins bien que ces chiffres, Grenoble devrait faire beaucoup mieux ! En effet, la (l’ex?) capitale des Alpes n’est pas une grande bourgade mais la ville-centre d’une métropole de 450 000 habitants et d’une aire urbaine 2Dans l’illustration qui suit, Éric Piolle dit « bassin de vie » de 700 000 personnes.
Tous les commerçants du collectif « Touche pas mon commerce » le vivent : « on a perdu toute la ceinture grenobloise », ce qui est énorme ! Mais c’est pire en réalité car s’y ajoutent les 250 000 personnes des 30 à 40 km à la ronde (l’aire urbaine). Elles non plus ne viennent plus…

En 2018, les fausses promesses d’Éric Piolle pour faire gober la fermeture du boulevard Agutte-Sembat.
Grenoble devrait avoir deux fois moins de commerces fermés
Nantes est à 5,8 %, donc 3,35 % en-dessous de la moyenne régionale3La région Pays de la Loire est à 9,15%.. Avec ce même écart entre métropole et région, Grenoble serait à 6,35 %… Mais c’est le double 4Et combien serait-ce en tenant compte du blanchiment dont on ressent la nette progression ? Grenoble a dépassé le « niveau rouge d’alerte » ! et ça s’aggrave !
Alors, pourquoi minorer le problème ?
Alors, pourquoi minorer l’extrême gravité de la situation, comme beaucoup le font ? Parce qu’on est parmi les responsables ? Parce qu’on reçoit ou distribue des subventions ? Pour se mentir à soi-même ainsi que le dit Steve Mc Queen dans le film Les Sept Mercenaires?: « Ça me rappelle ce bonhomme qui dégringolait du dixième étage. Comme il passait devant chaque étage, les gens pouvaient l’entendre répéter : jusqu’ici ça va, jusqu’ici ça va ».
Un film culte, qu’on ne risque pas de revoir au cinéma Rex : ses six salles ont fermé il y a un an alors qu’il était, selon les critères de la mairie, idéalement desservi par l’emblématique autoroute à vélos du boulevard Agutte-Sembat !
Grenoble a dépassé le « niveau rouge d’alerte » !
Un an après que la fermeture de ce boulevard vital a immédiatement amorcé la chute du centre-ville, le vice-président au commerce avait déclaré que 10 % (de commerces vacants) était le « niveau rouge d’alerte ». Il avait aussi lancé le « jusqu’ici ça va » via Le Dauphiné libéré, amenant ce journal à titrer « centre-ville, les chiffres qui donnent le ‘smile’ aux élus »…

En 2025, le boulevard Agutte-Sembat et la « dynamique » apportée par « Cœur de Ville Cœur de Métropole »
Avec 12 %, le « niveau rouge d’alerte » est dépassé ! Pourquoi ne l’entend-on pas dire alors que ce sera pire à la fin de l’année, qui s’annonce plus dramatique encore ? Parce que tout a été fait pour ça : après la fermeture d’Agutte-Sembat, celle du quartier Notre Dame – Sainte Claire (où le marché est à – 50 % de clientèle!), l’agrandissement de Grand’ Place voté à l’unanimité par Éric Piolle et son groupe politique, la création de Neyrpic que les mêmes ont hypocritement refusé de suspendre, la suppression généralisée du stationnement, la ZFE, etc.
Éric Piolle et son cercle ont le grand merci reconnaissant de Neyrpic et Grand’ Place
La périphérie n’a jamais été aussi florissante tandis qu’en ville les commerces périclitent et laissent place au fast-food, au discount, au CBD, à des bars dont certains n’ouvrent même plus en journée.
Dès la fermeture d’Agutte-Sembat, Swarovski et Jennyfer ont abandonné le centre-ville et tout misé sur leurs boutiques de Grand’ Place. Ce même arbitrage a ensuite été fait par le groupe H&M lorsqu’il a dû réduire la voilure. Pareil pour Intersport, qui a repris Go Sport mais en larguant l’important emplacement présent de longue date sur le cours Berriat ; la mirifique autoroute à vélos passait pourtant devant ses portes…
Plus récemment, la rue du Dr Mazet s’est vidée au profit de Neyrpic : Zara, Sandro, Claudie Pierlot, Maje ont déserté le « centre-ville plus agréable, plus dynamique et plus attractif » qu’Éric Piolle et sa troupe avaient promis aux crédules à grands renforts de comm’.
À Nantes : « 5,8 % ce n’est rien, 12 % c’est énormément »
À Nantes où le taux de vacances est moitié moins qu’ici, le président de l’association des commerçants du centre-ville n’est pas adepte du « jusqu’ici ça va ». Inquiet mais surtout vigilant, il estime avec justesse que « 5,8 % ce n’est rien, 12 c’est énormément ». Connaît-il la trajectoire de « Grenoble capitale verte » pour ajouter que « le risque est de passer à 12 % » ?
Grenoble allait très bien avant la fermeture d’Agutte-Sembat
En 2015, il y a dix ans, le centre-ville était à 6 % de vacance commerciale. En 2016, l’année avant que la mairie n’en fasse le « Cœur de Ville Cœur de Métropole » difficilement accessible d’aujourd’hui, il était le 4e le plus dynamique de France ! Éric Piolle se vantait 5Édition spéciale « Cœurs de Ville Cœurs de Métropole » du magazine de la Métro, page 5. alors de cet héritage, de ce cadeau du monde d’avant. Il n’en parle plus du tout maintenant. Tout le monde sait pourquoi…
Comment en est-on arrivé là à Grenoble ?
Au moyen d’une méthode systématique que la mairie ne cache même plus, Gilles Namur ayant avoué que : « on piétonnise d’abord et ensuite on discute, on concerte ». Et par une comm’ massive, à gros budget, promettant du rêve d’un côté, niant ou travestissant le réel de l’autre.
Il y a eu, dès 2016, la fable mensongère de « la dynamisation du centre-ville » pourtant alors en très bonne santé (!), soit disant pour « densifier et diversifier l’offre existante » mais en réalité pour… fermer son artère vitale principale.
Face à tous les commerces qui ont aussitôt souffert et même baissé le rideau, le discours de la « dynamisation » a très vite été abandonné pour passer à la sacrale adoration du « commerce de proximité ». Sauf que, au classement des villes selon ce critère, Grenoble est aussi sortie du top 10. Alors, ne pouvant plus uniquement nier les problèmes, la mairie s’est mise à raconter que « le centre de Grenoble n’a pas vocation à faire des courses importantes » !
Une ânerie grossière qu’aucune autre municipalité n’oserait proférer, et qui montre que même la comm’ est à bout de souffle. Mais elle continue, alimentée par Alan Confesson qui a trouvé dans le mot « convivialité » de quoi servir une nouvelle salade. Avant la prochaine pour les élections ?
Alors, pour qui les médailles de plomb des 12 % de commerces vacants à Grenoble ?
Les prétendants sont nombreux au pied du podium. Ils sont bien connus, savent qu’ils le sont, se reconnaîtront d’eux-mêmes pour leurs contributions décisives à cette double faillite, économique et politique.
Les votes sont ouverts ! Le nôtre attribue la plus haute marche au maire Éric Piolle, et la deuxième au duetto Namur-Confesson. Pour la troisième, quelqu’un de la Métropole puisque rien de ce massacre n’aurait pu se faire sans elle.
Et maintenant ? Et pour 2026 ?
En février 2017, à la métropole puis à la mairie, Grenoble à Cœur avait pris la parole pour avertir des lourdes conséquences qu’aurait la fermeture d’Agutte-Sembat car « le centre-ville de Grenoble, premier pôle économique de l’Isère, a la moitié de ses clients qui viennent de l’extérieur ». Alerte ignorée, suivie du déni systématique des difficultés pourtant aussitôt apparues, de la négation des graves problèmes visibles aux yeux de tous et qui n’ont cessé depuis.
Mais maintenant, face à la criante évidence des « fermetures en série des commerces », la Métro vient de publiquement reconnaître par la voix de Mme Schuman qu” « on a un vrai problème d’accessibilité ».

La zone de rencontre proposée par Grenoble à Cœur en 2021 est toujours très facilement réalisable !
Tandis que la Ville continue de nier les faits, jusqu’à la censure ridicule en priant le promoteur de Neyrpic de cesser les « commentaires déplacés concernant l’accessibilité du centre-ville » dont il avoue bien sûr grandement profiter6Il ne cache pas viser « en premier lieu les habitants de la vallée du Grésivaudan, car ils ont aujourd’hui du mal à accéder à l’hyper-centre ».
Il n’y a que la vérité qui fâche… Surtout au moment où la descente aux enfers est en voie d’être étendue à tous les quartiers de Grenoble : cours Berriat, av. Jeanne d’Arc, place de Metz, secteur Notre Dame / Sainte Claire / Très Cloîtres, Championnet, Esplanade, etc.
En 2020, concernant Agutte-Sembat, en dehors d’Éric Piolle tous les candidats à la mairie avaient affirmé « leur volonté d’ouvrir la voie de bus aux voitures pour désengorger le boulevard Gambetta ». C’est possible pour 2026, tout comme la facile modification du quartier des halles en zone de rencontre. D’ici-là, la casse de notre ville ne pourra être freinée ou arrêtée que par la résistance active, collective et déterminée des citoyens tous ensemble. Et, on le voit, ça a commencé7Contact : collectifs.commercants.habitants@gmail.com..
En attendant que les politiques locaux comprennent et montrent que, face à l’urgence, Grenoble est tout ce qui compte vraiment, que ça les réunit, que c’est une évidence, qu’il faut mettre au second ou au troisième plan les clivages nationaux et les réflexes du passé ? Pour Grenoble, notre ville, celle où nous vivons, et pour les Grenoblois. C’est donc simple.
Grenoble à Cœur
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24 réflexions sur « Tribune libre : « Pour qui la médaille de plomb des 12% de commerces fermés à Grenoble ? » »
Flûte, un complot de la part de professionnels : https://actu.fr/auvergne-rhone-alpes/grenoble_38185/grenoble-pour-eux-le-commerce-n-est-pas-mort-on-est-une-ville-privilegiee_62646860.html
« Le beurre et l’argent du beurre ».
Comment dépenser son argent ?
Dans le cadre de la « transition », « on » pourrait envisager de le dépenser pour « la culture et la culture » : La culture du basilic sur le balcon, et la danse du ventre pour perdre quelques kilos.
Quel rapport avec le commerce ? (Quelque soit le % les villes se vident du commerce « standard »). Si les gens n’achètent plus dans les commerces c’est aussi parce qu’ils trouvent ailleurs ( moins « cher » autant en € qu’en « effort » de déplacements … ). Et les commerces ne sont-ils pas a bout de « souffle » ?
(Dans les année 70 il se disait que les motos japonaises ne valaient rien … et dans les années 90 l’industrie française ne valut plus rien … et maintenant ???).
Le système capitaloconsumériste est incompatible avec la nature. (Donc il faut s’attendre à ce qu’elle reprenne ses « droits » … « Disons », que le nature sera encore là après l’homme. Les « savants » voient dans la « pieuvre » le successeur à l’homme. Aussi j’ai écrit à Dieu, pour ma prochaine incarnation).
NB : Notre maire ne nous parlait-il pas du PIB (à une époque lointaine)? J” imagine la prochaine municipalité (car quand même il en est qui voudront en être).
Procos est la Fédération représentative du commerce spécialisé. Ci-dessous un extrait de leur dernier rapport :
« Toutefois, de nombreuses causes de fragilisation sont à rechercher du côté de la politique des villes et des décisions des élus locaux.
En effet, si certains objectifs sont louables (baisser la pollution, pacifier l’espace public, partager celui-ci entre la voiture, vélos et piétons …) les politiques des villes peuvent avoir des conséquences très destructives soit parce qu’elles sont excessives (trop grande difficulté d’accès avec des plans de circulation trop compliqué, mauvaise politique du stationnement, mise en œuvre de travaux de voirie sans planification tenant compte des impacts économiques …) alors les impacts irrémédiables sur certains types de commerce sont indéniables.
A ceci s’ajoute la mise en œuvre de dispositifs qui apparaissent comme des quasi-impossibilités d’accès (ZFE, ZFL) de la part des consommateurs tant la communication est mal faite et ces dispositifs incompris.
Rappelons une réalité simple, les consommateurs ne sont plus dans l’obligation de se rendre dans des lieux si les irritants sont trop importants car d’autres solutions sont accessibles aisément : acheter sur internet ou se rendre dans d’autres lieux plus accessibles. Le nier est incompréhensible et ne pourra qu’être destructeur sur le tissu commercial. Bien entendu, tous les profils de commerce ne sont pas confrontés au même danger, donc c’est un vrai choix politique.
Un commerce dont l’activité peut se suffire d’une clientèle habitant à proximité et vient à pied n’est pas concernés, le plus protégé est l’alimentaire de proximité. A l’inverse, des activités dont la fréquence d’achat est beaucoup plus faible (par exemple meuble, équipement de la maison, grands magasins…) ont des modèles économiques qui supposent que la clientèle vienne d’un périmètre géographique beaucoup plus large, par exemple de la périphérie des villes concernées. Si cette clientèle supplémentaire ne vient plus, change d’habitudes, le modèle économique a beaucoup de difficultés à s’adapter (coût locatif, charges de personnels…) et les exploitants sont en difficulté. »
Aucune preuve dans les écrits ci-dessus, aucune donnée scientifique visible. C’est juste du gros doigt mouillé !
Quand est-ce que vous allez arrêter de faire du sophisme avec vos raisonnements fallacieux ?
Pour rappel le tarif solidaire pastel A est 2,50€ par MOIS 30€ annuel moins cher que l abonnement à une box !!!
Au lieu de critiquer les transformations,ne serait-il pas préférable de faire des propositions
Le mise en place de zone piétonnes et cyclables sont les évolutions du 21ieme siecle. Lorsque vous voyagez,et que vous êtes dans des zones piétonnes vous visitez flânez en toute tranquilité , c est Un bonheur.et lorsque vous allez travailler ou vous baladez en famille a vélo,c est la aussi un bonheur.
Alors changer vos modes de pensées,de déplacement.
Vous conservez votre logiciel d un temps révolu.
Rappelez-vous des débats de la voie sur berge,c était une hérésie disaient les combatants,maintenant reviendriez ‑en arrière ?
Il en va de même pour les évolutions de notre société,l immobilisme ou regarde avec nostalgie derrière soi ne réglera pas les nouveaux défis qui vont se présenter à vous.
Notre pauvre ville de Grenoble impropre,dangereuse,est loin de faire rêver pour don modèle des 10 prochaine années.
Ou en sommes nous des projets de ville connectée,ou d début de commencement.
La rénovation énergétique des bâtiments publique.la végétalisation des toitures,la rénovation des parkings pour laisser l eau s évacuer.
L arrêt de la suppression des espaces vert.
La gratuité des transports en communs.
Rien n” est gratuit,mais je préfère voir mes impôts servir a améliorer le transports de tous,et balayer du coup les remarques sur la difficulté d accéder au centre de Grenoble,des bouchons.
Avoir fait une rocade ou aucuns contrôles des vitesses automatiques du Grésivaudan au péage de crolles est aussi une folie.qui respecte la vitesse sur cette portion même le jours le pics de pollution ? Qui contrôle ?et qui contrôlera demain ?
Les boutiques disparaissent, mais ne faut-il pas se demander si le modèle de toute petites boutiques lugubres est toujours au goût du jour.
J adore les petites ou moyennes boutiques pour certains achats.
Pour d autres achats, je pense que des espaces très large sont plus adaptés.
Le niveaux d impôts des magasins en centre ville,n est-il pas aussi un frein ?
La qualité des boutiques, ça manque souvent d investissement,un peut comme notre parc d hôtel bien vieillissant.
Et l” autre point, vous pouvez faire tous les accès que vous voulez,mais quand est-il du pouvoir d achat de la zone grenobloise ?
Vous avez aussi internet, et certaines des boutiques ne rivaliseront jamais avec le e‑commerce.
Quelles sont les aides des grandes enseignes ?, comment se passe la redistribution ?
Un peu comme nos agriculteurs, qui sont seuls, parfois certains se regroupent pour former un collectif, et ça fonctionne bien, tout le monde y gagne.
pourquoi pas un grand collectif des commerçants de Grenoble qui parlent, agissent, communiquent ensembles comme le font les grands centres.
Et la sécurité dans tout cela ?
Aussi bien en ville a pieds qu’en voiture.
Combien de fois vous faîtes-vous dépasser au feux rouge ?
Tous les jours
Cdt
Je ne mets pratiquement plus les pieds à Grenoble:grosse difficultés de circulation impossible se se garer.Je préfère Voiron Villard de Lans,plus tranquilles.….
Impossible de se garer : ha bon ? Vous êtes sûrs de ce que vous avancez ? Excepté 2 ou 3 weekends en Décembre avec le marché de Noël, il reste TOUT LE TEMPS un grand nombre de places dans les parkings en ouvrage du centre ville.
Si la circulation vous déplaît, vous pouvez également utiliser les parkings relais et finir votre trajet en tramway.
J’imagine que cela ne vous a jamais effleuré l’esprit.
Bonjour ….
Les franchises GO SPORT H&M JENNYFER ont fermé leurs portes au niveau national.
« Oui mais c’est quand même la faute à Piolle ! » vous diront les accrocs des commentaires spécialistes du Grenoble bashing 😀
C’est six mois après la fermeture d’Agutte-Sembat que Jennyfer a décidé de fermer place Grenette et de continuer seulement à Grand’ Place. C’était en 2017 et ça n’a rien à voir avec leurs problèmes actuels.
H&M a fait pareil quelques années après : fermeture caserne de Bonne, maintien à Grand’ Place.
https://www.ledauphine.com/economie/2022/11/26/le-h-et-m-de-la-caserne-de-bonne-va-fermer-ses-portes
Intersport aussi lors de la reprise de Go Sport : fermeture cours Berriat, maintien à Grand’ Place (et même ouverture à l’espace Comboire).
https://actu.fr/auvergne-rhone-alpes/grenoble_38185/grand-place-a-grenoble-cette-enseigne-fait-faillite-intersport-reprend-le-magasin_60262020.html
Vous êtes un spécialiste du sophisme à grande échelle !
Vos arguments ne tiennent absolument pas et relèvent d’un raisonnement fallacieux. Ce n’est pas parce qu’un fait A s’est produit et qu’un fait B s’est produit que A a causé B. C’est vraiment n’importe quoi et surtout pas de la logique comme vous voulez le faire apparaître !
Relire les philosophes grecs vous ferait un bien fou.
Je suis grenoblois depuis 68 ans je n’ai jamais vu autant de magasin fermé surtout bd.agutte sembat de tous les maires qui sont passé à Grenoble m. Piolle a la médaille d’or de la connerie
Et du manque de parkings et de la fermeture de l’Esplanade : on en parle ??
Grenoble = ville apaisée !
Comment ne pas RIRE (amèrement) de ce slogan lorsqu’on apprend chaque jour qu’il y a eu un nouveau règlement de comptes.
Lorsqu’on entend régulièrement des tirs de mortiers (j’habite vers le cours berriiat).
Lorsqu’on a comme spectacle dans les rues les vitrines fermées des commerçants et les murs sales et taggés.
Lorsqu’on roule en vélo et qu’on essaie d’éviter les nids de poule (seules les autoroutes à vélo sont entretenues).
Lorsqu’on sait que notre famille et nos amis ne veulent plus venir à Grenoble car ils ne sont pas rassurés et surtout ils ne peuvent plus se garer !
Non ma chère ville de Grenoble n’est pas apaisée, elle est triste et devient une lugubre ville dortoir.
Le terme « apaisé » s’applique aux déplacements. Vos propos relèvent donc du hors-sujet mais je pense que cela ne vous gêne pas.
Au passage, habitant également dans le quartier Chorrier/Berriat/St-Bruno, les personnes qui me rendent visites n’ont plus AUCUN souci de stationnement dans ma rue même, depuis la mise en place du stationnement payant. Auparavant non plus même si je les faisais stationner au parking de la gare. Il faut donc éviter de raconter n’importe quoi sur ce sujet.
Et aucun de mes amis n’a peur de venir me voir à Grenoble. Tout ceci relève du Grenoble bashing à la c.n, relayé par Carignon et ses afficionados dont de nombreux commentateurs ici.
Horreur, vos amis vous rendent visite en BAGNOLE et utilisent les places de STATIONNEMENT dans votre rue ?
Purée, c’est dingue, vos amis et vous se croient encore au temps des 30 glorieuses ?
Oh les blaireaux ! Mais cassez-vous donc vous et les voitures de vos amis, et laissez-nous respirer ! 😂
Même quand vous n’avez rien à dire, vous la ramenez ! J’imagine que vous êtes un être totalement dénué de relations sociales à part verser votre fiel dans les commentaires des médias et réseaux sociaux. Un job à temps plein pour un retraité aigri sans aucun doute.
Je suis Grenobloise de naissance. Depuis l’arrivée de Piolle en 2014, Grenoble est devenue une déchetterie à ciel ouvert et un cimetière où plus personne ne souhaite venir craignant pour leur sécurité. Heureusement que l’Opposition est là pour contrebalancer les dérives destructrices d’Eric Piolle.
Ce qui réunit les élus de la municipalité Grenobloise et de leurs complices de la Métropole, Christophe Ferrari en tête, c’est leur projet réussi de ruiner et de dégager le commerce Grenoblois en dehors des bars (devenus trop nombreux sous leurs encouragements et aides) et autres fast-food.
Ces commerçants qui pour eux sont le mal capitaliste qui détruit la planète et gagnent trop d’argent, car ces élus sont surtout jaloux, nombre d’entre eux n’ont jamais rien fait d’autres que de la politique et en tout cas ne savent pas ce qu’est un bilan et de prendre des risques.
Ils font semblant de les écouter tout en leur plantant un couteau dans le dos depuis 11 ans.
Au passage, les habitants en souffrent également avec une offre qui se raréfie, mais comme le projet de ces élus est au final que nous allions nous parquer dans des centres commerciaux, ils sont heureux, et leurs électeurs avec !
Oh les blaireaux ! Le retour de la voiture dans la ville va faire revvenir les clients ! Purée, c’est dingue de se croire encore au temps des 30 glorieuses ! Mais cassez-vous donc avec vos voitures et laissez-nous respirer !
Blaireaux?? C’est votre facon de discuter??? c’est très citoyen, tout ça…
Quand on amasse des conneries comme ça, il n’y a pas d’autres mots pour qualifier les gens, toujours les mêmes, qui propagent de telles choses à longueur de temps dans tous les médias, réseaux sociaux et réunions de quartier. Ces personnes essayent de démontrer une relation de causalité qui n’est absolument pas étayée d’un point de vue scientifique ni aucune étude. Ils essayent juste de faire croire que puisque un fait A est présent ici et qu’il y a un fait B, alors les 2 sont liés. Complètement faux !
Je peux faire exactement la même chose. Ainsi, depuis le retour du vieux taulard Carignon et de ses sous-fifres comme Grenoble le changement ou Grenoble à coeur ou encore quelques unions de quartier d’automobilistes^habitants depuis 2014, on peut établir le même constat que dans la tribune. PAR CONSEQUENT, on en déduit que c’est la faute à Carignon et ses sbires par leur Grenoble bashing perpétuel depuis cette date qu’on est dans cette situation. Voilà, j’ai établi une relation de causalité qui en vaut une autre.
Vous êtes un khmer vert.
Vous avez détruit Grenoble.
Nous parisiens sommes effaré de la catastrophe en cours dans l’ex capitale des Alpes.
Pour preuve nos racailles de la région parisienne admirent Grenoble pour le nombre des méfait.
On part se balader en Savoie c’est plus tranquille.
Gros blaireau ecolos. Mdr
Votre message pique les yeux avec tellement de fautes ! Cela explique peut-être vos oublis concernant certains de vos propos.
– Petit rappel historique : khmer rouge fait allusion à la période de la deuxième moitié des années 1970 pendant la laquelle le Cambodge a été dirigé par des partisans communistes maoïstes et où 1/4 de la population a été tué. Je n’ai pas connaissance d’un génocide réalisé par les écologistes que ce soit à Grenoble, en France ou ailleurs.
– Destruction de Grenoble : de mon balcon, la ville est encore debout. Mais c’est vrai que depuis Paris, la vue est plus difficile.
– « pour preuve » : où sont vos preuves ? Vous avez des sources fiables pour illustrer vos propos ?
Bref, vous vous apparentez davantage à un gros troll qui devrait soigner son orthographe plutôt que de relayer des propos à la c.n dont il ne comprend même pas la teneur.