DÉCRYPTAGE - Attendue pour être expérimentée à Grenoble, l'éco-pastille automobile est en rade au ministère de l’Écologie. En cause ? Le nombre de catégories de véhicules ciblés. Sept ? Quatre ? Plus de six mois après l’annonce de Ségolène Royal, les certificats qualité de l’air sont au point mort. En attendant, la pollution de l’air bat son plein…
Les certificats qualité de l’air auraient-ils des ratés à l’allumage ? L'éco-pastille automobile, prévue pour être apposée sur les pare-brise et classer les véhicules en fonction de leurs émissions de polluants et leur date d'immatriculation, verra-t-elle le jour ?
Annoncée par Ségolène Royal en juin 2015, prévue pour être expérimentée en novembre 2015 à Grenoble puis généralisée le 1er janvier 2016, la vignette automobile reste introuvable. Au point mort ?
Aux dernières nouvelles, elle serait bloquée dans les couloirs du ministère de l’Écologie où l'on commente très vaguement et aléatoirement ses soubresauts : « Le cahier des charges est en train d’être finalisé. L’expérimentation sera lancée dans les prochains mois », tente de se justifier le service communication.
Grenoble dans l'expectative
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