FLASH INFO – La Ville de Grenoble et le réseau Canopé, établissement public dédié à la formation continue des enseignants, ont signé le 7 février 2025 une convention de partenariat triennale. Le but ? Créer une « alliance éducative » dans des domaines comme l’égalité entre les sexes et l’émancipation des enfants.
Egalité entre filles et garçons, apport de ressources éducatives, formation du personnel éducatif pour favoriser l’émancipation des enfants… Tels sont parmi les domaines d’application de la convention de partenariat triennale signée, le 7 février 2025 entre la Ville de Grenoble et le réseau Canopé.
Se présentant comme « l’opérateur de la formation tout au long de la vie des enseignants et de la communauté éducative », le réseau Canopé, placé sous la houlette du ministère de l’Education nationale et de la Jeunesse, vise à former plus de 240 000 enseignants et personnels par an.
Garantir « un parcours éducatif de qualité » à tous les Grenoblois
L’objectif de cette convention de partenariat ? « Conclure une alliance éducative dans la dynamique territoriale grenobloise », explique la Ville de Grenoble. Cette dernière souhaite l’inscrire pleinement dans le projet éducatif construit avec son Centre communal d’action sociale (CCAS) pour 2022 – 2027, qui doit permettre « à chaque enfant, jeune et adulte » d’accéder à « un parcours éducatif de qualité ».
La Ville de Grenoble et le réseau Canopé ont signé leur convention le 7 février 2025. © DR
La lutte contre les inégalités se trouve au cœur des actions à mener dans le cadre de cette collaboration avec Canopé. Il s’agit du « développement d’actions en faveur de la promotion de l’égalité entre les filles et les garçons dès le plus jeune âge ». Mais, plus largement, de lutter contre les inégalités et les stéréotypes de genre. Et ce dans les contextes scolaires comme périscolaires.
La convention vise également « l’émancipation de l’enfant et du jeune par l’accompagnement et la formation de personnels de la communauté éducative au développement de leurs compétences psychosociales ».
Enfin, ces mêmes personnels pourront compter sur « l’apport de ressources éducatives et formatives (…) dans les espaces favorisant les alliances éducatives ».