REPORTAGE VIDÉO - En déplacement à Grenoble ce 18 octobre 2021 dans le cadre de la Capitale verte européenne 2022, Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, a annoncé une aide de 4 millions d'euros de l'État. Objectif : accompagner la Ville dans le rôle européen qu'elle s'apprête à jouer en 2022 pour « accélérer les transitions ». De quoi expliquer l'entente parfaite entre tous les acteurs, bien loin des passes d'armes plus ou moins récentes entre collectivités et Etat.
En visite à Grenoble ce 18 octobre 2021 dans le cadre de Grenoble capitale verte européenne 2022, Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique a annoncé que l'État débloquait une enveloppe de 4 millions d'euros au titre du label européen. Une dotation interministérielle qui vient s'ajouter aux 350 000 euros déjà attribués, à titre de récompense, par la Commission européenne pour que Grenoble puisse mener à bien ses projets.
En tout cas de quoi accompagner la Ville au cours de cette année spéciale dont Éric Piolle, le maire de Grenoble, veut faire le marqueur de « l'accélération des transitions ». Et aussi tout un symbole à l'heure où le rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) sonne l'alarme et où la France s'apprête à prendre la présidence de l'Union européenne.
Arrivée en téléphérique au fort de la Bastille dont la Ville de Grenoble souhaite faire son « lieu totem », Barbara Pompili s'est félicitée « d'une belle réussite collective [...], source d'inspiration pour d'autres collectivités à l'échelon européen ». Des propos unanimement confirmés par Éric Piolle, Christophe Ferrari, le président de la Métropole et Sandrine Martin-Grand, vice-présidente du département de l'Isère qui entouraient la ministre.
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