FOCUS – Dans leur recours contre le projet porté par Area de réaménager l’A480 dans la traversée de Grenoble, quatre habitants de l’agglomération dénoncent les irrégularités de la procédure et le tour de passe-passe pour faire avaler la pilule de l’élargissement. Et s’apprêtent, aussitôt le deuxième arrêté préfectoral signé, à entamer une seconde action en justice pour bloquer le démarrage des travaux.
Fin septembre, quatre Grenoblois ont déposé un premier recours pour faire annuler la déclaration d’utilité publique signée par le préfet de l’Isère le 23 juillet, préalable au projet de réaménagement de l’A480.
Dans quelques jours, dès que le représentant de l’État aura pris son second arrêté – au titre de l’autorisation environnementale cette fois – ils remettront le couvert. Et déposeront, toujours devant le tribunal administratif, un second recours en référé-suspension. Une procédure d’urgence en vue d’empêcher le démarrage des travaux.
Municipalité #Piolle et #Métropole de Grenoble qui ont fait semblant d’être d’accord avec ce projet auraient pu requérir directement plutôt que de se planquer derrière ces requérants ? Et ça donne des leçons, les magouilleurs c’est les autres. Mais bon, je dois me tromper à propos de ces si « gentils » et « honnêtes » bisounours.
Pourquoi ce ne serait pas aux habitants eux-mêmes à prendre leur destin en main et à aller au tribunal ? Faut-il toujours tout attendre des « bisounours » qui nous gouvernent ?
Jean Jonot (et pas comme Jean Giono) 😉
Effectivement ! C’est corrigé, avec toutes nos excuses. Rien à voir effectivement avec l’auteur de Le Grand Troupeau… 😀