FIL INFO – Pour leur huitième édition, les Trophées des Femmes de l’économie ont distingué six chefs d’entreprise dans six catégories différentes. Parmi lesquelles deux Iséroises : Cathy Simon, directrice de Centaure Rhône-Alpes (L’Isle d’Abeau), et Claire Hatem, présidente d’AFFI Mobile (Grenoble).
C’est à l’Opéra de Clermont-Ferrand que se tenait jeudi 28 novembre la huitième édition des Trophées des Femmes de l’économie Auvergne-Rhône-Alpes. Créé pour « mettre en lumière des femmes au parcours professionnel exemplaire », l’événement se déroule depuis 2010 sur les différents territoires de l’Hexagone. Et cette année, deux Iséroises figurent parmi les six lauréates.
Claire Hatem, l’une des Iséroises lauréates des Trophées. Cathy Simon n’a pu, pour sa part, être présente à la cérémonie. © Les Femmes de l’économie
L’édition Auvergne-Rhône-Alpes 2018 a ainsi récompensé Cathy Simon, directrice générale de Centaure Rhône-Alpes (L’Isle d’Abeau) dans la catégorie « Femme dirigeante », et Claire Hatem, présidente d’AFFI Mobile (Grenoble) dans la catégorie « Femme chef d’entreprise ». Une troisième Iséroise figurait par ailleurs parmi les finalistes : la directrice générale du Casino d’Uriage Magalie Rousselle.
Des « modèles pour les générations futures »
Hors Isère, les quatre autres lauréates des Trophées sont Nadia Auclair, directrice générale de Carbiolice (Puy-de-Dôme) dans la catégorie « Femme Chef d’Entreprise Prometteuse » ; Patricia Gros, dirigeante d’Handishare (Rhône) dans la catégorie « Femme innovation sociale » ; Anne Chauder, présidente du Directoire chez Dômes Pharma (Puy-de-Dôme) dans la catégorie « Femme à l’international » ; et Alisson Foucault, présidente d’UniVR Studio (Rhône) dans la catégorie « Femme digitale ».
Les lauréates des Trophées Les Femmes de l’économie Auvergne-Rhône-Alpes 2018. © Les Femmes de l’économie
Autant de catégories qui, expliquent les organisateurs, « valorisent la place des femmes dans l’ensemble des secteurs d’activité ». Y compris dans des professions encore jugées traditionnellement plus masculines telles l’industrie, l’ingénierie ou encore le BTP. Les Trophées le clament : le but est bien de soutenir les projets féminins au sein de l’économie, mais aussi « d’offrir des rôles-modèles inspirants aux générations futures ».