FOCUS – Alors que le gouvernement a présenté son Plan pauvreté, les élus d’opposition du groupe RCSE du Département de l’Isère mettent en parallèle les objectifs affichés et les réalisations sociales du Conseil départemental. Un déluge de critiques que le président du Département Jean-Pierre Barbier accueille avec beaucoup d’ironie.
Alors que le président de la République a présenté, le 13 octobre, son Plan pauvreté – concocté par l’ancien adjoint de Michel Destot à la mairie de Grenoble Olivier Noblecourt – les élus du groupe d’opposition du Conseil départemental de l’Isère RCSE (Rassemblement citoyen, solidarité et écologie) reviennent sur les points abordés dans ce plan d’action. Pour mieux tacler les orientations sociales prises par la majorité UMP du Département et de son président Jean-Pierre barbier.
Aux yeux des quatre élus d’opposition, le Plan pauvreté va dans le bon sens. Pas question pour autant de se montrer trop laudatifs, en particulier lorsque des choix précédents du président Macron et du Premier ministre Philippe, tels la baisse de 5 euros des aides au logement ou la réforme de l’ISF, ne leur apparaissent pas comme des marqueurs de lutte contre les inégalités sociales.
Des choix politiques et sociaux contestés
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