REPORTAGE VIDÉO - Entre 400 et 500 personnes se sont réunies dans l'enceinte et aux abords de l'Espace des cultures juives de la rue des Bains, lundi 7 octobre 2024, à Grenoble. Toutes venaient rendre hommage aux 1 200 victimes ayant succombé aux attaques terroristes du Hamas survenues, jour pour jour, un an auparavant. Sans oublier les quelque 5 431 blessés et les 256 otages dont 92 restent prisonniers du mouvement palestinien.
C'est sous étroite surveillance de la police qu'entre 400 et 500 personnes réunies au Centre des cultures juives de Grenoble ont rendu hommage, lundi 7 octobre 2024 à 19 heures, aux victimes des attaques terroristes du Hamas survenues un an auparavant.
Une initiative de la section iséroise du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) qui a réuni de nombreuses personnalités iséroises de tous bords. Ce à l'exception d'élus de la majorité de la Ville de Grenoble, qui devaient normalement être représentés par la première adjointe Isabelle Peters. En cause, la décision radicale du Crif Grenoble Dauphiné dont le président, Hervé Gerbi, a refusé leur présence lors de cet hommage.
Ce qui n'avait pas empêché Éric Piolle d'organiser, en début d'après-midi sur le perron de la mairie, une minute de silence en hommages aux victimes du Hamas.
« La Ville appelle à la libération des otages, qui ne peut passer que par un cessez-le-feu durable sur Gaza et plus globalement dans la région, a ainsi déclaré l'édile. Les massacres n’ont que trop duré, Grenoble appelle à la paix, à la reconnaissance de l’État palestinien et à une solution à deux États », a-t-il précisé par voie de communiqué.
Poursuivez votre lecture
Il vous reste 39 % de l’article à lire. Obtenez un accès illimité.
Vous êtes déjà abonné.e ? Connectez-vous



