FOCUS – La Ville de Grenoble a adopté son plan municipal de santé 2024 – 2028. Décliné en huit thèmes qui comportent en tout plus de 400 actions, celui-ci reprend des dispositifs déjà existants mais contient aussi un certain nombre d’annonces, du projet de mutuelle communale à celui de la sécurité sociale alimentaire, en passant par le « permis de louer » ou l’accompagnement des femmes victimes de violences.
Le conseil municipal de Grenoble du lundi 25 mars 2024 a adopté le plan de santé 2024 – 2028. Un plan, explique la Ville, « pensé comme un guide du quotidien pour protéger et renforcer la santé des Grenoblois et des Grenobloises ».
Celui-ci comporte ainsi plus de 400 actions « construisant une démarche globale en faveur de la santé et du bien-être des habitant-es pour faire de Grenoble une ville où la santé et la qualité de vie sont au cœur de toutes les politiques publiques ».
Bien plus qu’une « question biologique », la santé concerne en effet les politiques publiques bien au-delà de la seule question de l’offre médicale, selon la municipalité. Qui met en avant « huit déterminants de santé, eux-mêmes déclinés en action ». Le plan comporte ainsi des mesures d’ores et déjà adoptées par la Ville de Grenoble mais aussi des projets envisagés pour les années à venir.
Un plan santé décliné autour de huit thèmes
Le premier thème, « soigné et être soigné », développe comme action-phare le renforcement des centres de santé à Grenoble, avec le soutien aux associations et structures médicales et la création d’un centre de santé enfants-parents quartier Villeneuve en 2025. Mais aussi la possible mise en place d’une mutuelle communale, là encore en 2025, ou le lancement d’une étude pour la création d’une « halte soins addictions » à destination des consommateurs de drogues.
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Une réflexion sur « Plan municipal de santé 2024 – 2028 : plus de 400 actions menées ou envisagées par la Ville de Grenoble »
Et pendant ce temps, ENEDIS continue »d’interdire » le massage cardiaque aux non-professionnels. Mieux encore, ChatGPT affirme que le défibrillateur n’est pas une priorité pour ENEDIS. On marche sur la tête.
Notez aussi que ni la Croix Rouge ni la FFC ne daignent répondre à ces remarques que je porte pourtant depuis le 25 avril 2014 (10 ans).
En France le secourisme devrait être obligatoire et nos élus un peu plus responsables. On sauve 8 fois plus de d’arrêts cardio-respiratoires à Seattle qu’en France. Cherchez l’erreur !!!