FOCUS – À l’o­rée de la sai­son esti­vale, l’a­gence Grenoble-Alpes Tourisme vante les pépites, les temps forts et les nou­veau­tés qu’offre le ter­ri­toire de la métro­pole gre­no­bloise à ses visi­teurs. Misant sur une proxi­mité excep­tion­nelle avec la nature, elle fait la part belle aux mobi­li­tés, notam­ment en encou­ra­geant la pra­tique du vélo pour décou­vrir de nou­veaux iti­né­raires, lieux, expo­si­tions ou visites gui­dées. Sans oublier les grands évé­ne­ments spor­tifs ou cultu­rels qui mar­que­ront cet été 2023.

Pour cet été 2023, « le temps est à la nou­veauté », affirme Cyril Laily, direc­teur de l’a­gence Grenoble-Alpes Tourisme. Avec « un camp de base, une métro­pole à double ver­sants, ville et mon­tagne, incar­née par de nou­veaux pro­duitsofferts aux tou­ristes », ce qui la dif­fé­ren­cie des autres territoires.

Au nombre des pro­po­si­tions tou­ris­tiques de l’été 2023, la des­cente de l’Isère en canoë pour décou­vrir le patri­moine gre­no­bloise. © Nils Louna

Notamment « son hyper proxi­mité avec une nature excep­tion­nelle immé­dia­te­ment acces­sible grâce aux poli­tiques de mobi­lité ». En effet, estime Cyril Laily, « aucun autre ter­ri­toire n’est autant capable d’emmener des clien­tèles, quelles qu’elles soient, en bus, en tram, en covoi­tu­rage ou en vélo, par­tout sur des sites de plein air ».

Deuxième atout du ter­ri­toire, selon lui : « l’ef­fer­ves­cence de son bouillon­ne­ment cultu­rel porté par un gros réseau d’ac­teurs pour des évé­ne­ments qui gran­dissent chaque année ». Et enfin, « le posi­tion­ne­ment durable du ter­ri­toire qui nous place dans les ten­dances du tou­risme de demain ».

En vedette de cet été 2023, les toits d’im­meubles aménagés

Au pre­mier rang des nou­veau­tés ? Les roof­tops, toits d’im­meubles amé­na­gés, comme celui de la rési­dence de cotra­vail The Babel Community¹Lieu où ont été pré­sen­tés, le 2 juin 2023, les temps forts et nou­veau­tés au menu de la sai­son esti­vale 2023 sur le ter­ri­toire de la métro­pole gre­no­bloise, nichée sur les pentes de la Bastille et pré­sen­tant « un point de vue abso­lu­ment sublime, un véri­table trait d’u­nion entre la ville et la mon­tagne », selon Cyril Laily.