EN BREF – Le Festival du cinéma nature et environnement démarre vendredi 25 novembre 2022 au Club, à Grenoble, avec le documentaire I am Greta. Au total, 29 films sont au programme de cet événement portant sur l’actualité environnementale. Des courts et longs-métrages à découvrir jusqu’au 3 décembre.
Difficile de tomber plus juste. En ouverture vendredi 25 novembre, le Festival du cinéma nature et environnement accueille le public au Club, dès 18 h 30. Après un moment convivial autour d’un verre, le film retenu pour cette première soirée arrive de Suède. Comme son titre le suggère, I am Greta est un documentaire consacré à la jeune activiste écologiste, Greta Thunberg. Début de la projection à 20 heures.
Le Festival prend ses quartiers d’automne sur quatre sites. Côté cinémas, il se déroulera donc au Club, mais aussi à Mon Ciné (Saint-Martin-d’Hères) et la Vence Scène (Saint-Égrève). Le Muséum de Grenoble participe lui aussi à l’événement.
Au total, 29 réalisateurs de films – 14 courts et 15 longs – espèrent une récompense à l’issue de la compétition. La liste des trophées ? Hérissons d’or ou d’argent catégories Nature et environnement, Hérisson du court-métrage, Coups de cœur du Jury et du Jeune Public, et enfin Prix Ushuaïa TV.
Des images spectaculaires venues de France et de plusieurs autres pays
Pour cette édition 2022, le festival promet « un voyage cinématographique autour du monde et de ses merveilles ». Les organisateurs ont notamment retenu des fictions et documentaires venus de France, d’Allemagne, de Macédoine, d’Ouzbékistan et de Côte d’Ivoire.
Parmi les temps forts, une séance spéciale programmée à la Vence Scène dimanche 27 novembre. Primé l’année dernière, Mathieu Le Lay revient avec son nouvel opus, Yukon, un rêve blanc, tourné dans les immensités du Grand Nord canadien.
Autre possibilité de s’évader : mercredi 30 octobre, les familles pourront apprécier trois œuvres autour du thème Observer le commun. Film d’animation de Charlie Belin, Drôles d’oiseaux, s’intéresse à Ellie, une collégienne passionnée d’ornithologie. À Portée du sauvage, signé Lucas Hobé, propose de son côté une plongée dans la vie des oiseaux et mammifères des forêts et rivières de France.
L’occasion d’évoquer les menaces qui pèsent sur la biodiversité. Tout au long du festival, les œuvres présentées aborderont ainsi des sujets variés : la vie des sols, la pollution lumineuse et la montée des eaux, par exemple.
Prévue au Club, la soirée de clôture du 3 décembre permettra au public de connaître le nom des lauréats de cette 36e édition. Elle s’achèvera avec Palissade, de Pierrick Chopin, une fiction autour de la rivalité d’une femme et d’un sanglier. Il sera ensuite possible de découvrir Churchill, Polar Bear Town, documentaire d’Annabelle Amoros sur le rapport de l’homme et de l’ours polaire dans une petite ville canadienne. Une relation singulière qui fait du plantigrade, parfois présenté comme un prédateur nuisible, un objet de fascination touristique.
2 réflexions sur « Le Festival du cinéma nature et environnement s’ouvre à Grenoble avec le documentaire « I am Greta » »
Un documentaire sur nos grands arbres abbatus partout à Grenoble et sur ceux à venir ? 🤔
Voici rien que pour la place Victor Hugo.
https://www.youtube.com/watch?v=OKqFAbbO6ws