FOCUS – La hausse des tarifs de stationnement sur voirie a été votée, ce lundi 8 novembre, en conseil municipal de Grenoble. Considérant cette décision délétère pour l’attractivité de la ville et les petits revenus, les oppositions ont condamné cette mesure. Elles ont aussi interpellé Gilles Namur, rapporteur de la délibération et ancien président du Comité de liaison des unions de quartier de Grenoble (Cluq), sur son changement d’avis sur le sujet.
La Ville de Grenoble a voté, ce lundi 8 novembre 2021, l’augmentation des tarifs du stationnement sur voirie, dans le cadre de sa politique des transports et des déplacements. L’objectif de cette démarche ? « Accompagner la démotorisation des ménages et le report modal en faveur d’alternatives à la voiture individuelle, tout en optimisant l’usage de l’espace public », peut-on lire dans la délibération.
« La volonté d’augmenter les tarifs doit inciter au report modal et, si la voiture est nécessaire, c’est le parking en ouvrage ou le parking-relais [qui doivent être privilégiés] », a précisé, pour sa part, Gilles Namur, adjoint aux espaces publics et rapporteur de la délibération, au cours des échanges avec les opposants. Lesquels n’ont pas manqué de dire tout le mal qu’ils pensaient de cette décision.
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