FOCUS - À quelques jours du premier tour des élections départementales, le Printemps isérois fixe ses engagements en matière de probité et de transparence. La liste de gauche composée des formations EELV, PCF, Génération.s, Ensemble Grenoble Métropole, Parti socialiste et La France insoumise veut aller au-delà de la "charte de l'élu local", en reprenant des préconisations d'Anticor et de Transparency International. Quand bien même la Ville de Grenoble ne donne pas toujours l'exemple...
Le Printemps isérois déclare vouloir aller "au-delà des termes de la loi et rompre avec les pratiques actuelles de la majorité sortante". La loi en question? Celle qui se rattache à la charte de l'élu local, lue lors de la première réunion du conseil départemental. Elle fixe quelques grands principes en matière d'intégrité, de probité, de diligence, de vigilance contre les conflits d'intérêts, ou encore d'assiduité vis-à-vis de ses taches.
Par voie de communiqué, les candidats de l'union de la gauche départementale expliquent ainsi "préciser les mesures qui seront prises pour mettre en œuvre [cette charte, ndlr] de manière effective". Y compris en reprenant des préconisations issues d'autres chartes, à savoir celle d'Anticor et de Transparency International. L'occasion de dresser un inventaire d'engagements, déployés autour de six catégories distinctes.
Commission d'éthique et répertoire des informations publiques
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