FOCUS - Sur le front de la lutte contre la pollution de l'air, les rares mesures portées par la Ville de Grenoble sur les trois prochaines années ont laissé les oppositions municipales sur leur faim. Entre défaut de compétences et de moyens, l'exécutif poursuit le chemin tracé dans le précédent mandat. En vue ? Plus de place pour le vélo et les piétons et un nouveau plan de circulation à l'horizon 2023.
A Grenoble, la lutte contre la pollution de l'air sur les trois prochaines années sera limitée par les compétences et les maigres moyens. © Nils Louna - placegrenet.fr
Quelles grandes actions la Ville de Grenoble va-t-elle entreprendre dans les trois ans pour améliorer la qualité de l'air ? Elles sont réduites à la portion congrue. Questions de compétences, la plupart étant entre les mains de la Métropole ou du syndicat des mobilités, mais aussi de moyens.
C'est en tout cas ce qu'ont reproché les élus de l'opposition aux mesures annoncées par Pierre-André Juven, adjoint à l'urbanisme et à la santé, et Gilles Namur, adjoint à la nature en ville, lors du conseil municipal ce mardi 29 mars 2021.
Poursuivez votre lecture
Il vous reste 88 % de l’article à lire. Obtenez un accès illimité.
Vous êtes déjà abonné.e ? Connectez-vous