EN BREF — État, bailleurs sociaux et privés, Ville de Grenoble, Métropole et Département de l’Isère ont signé, le 28 janvier 2021, la convention donnant le top départ au plan de sauvegarde pour 586 logements du quartier grenoblois de l’Arlequin. Non sans se réjouir d’une collaboration réussie entre partenaires pour un projet aux ambitions aussi environnementales que sociales.
Quarante-cinq millions d’euros pour réhabiliter 586 logements du quartier grenoblois de l’Arlequin. Tels sont les chiffres impressionnants affichés par un Plan de sauvegarde (PDS) qui associe Ville et Métropole de Grenoble, Département de l’Isère, État, Agence national de l’habitat, bailleurs privés et publics, et syndicats de copropriétaires. Autant de partenaires réunis jeudi 28 janvier pour donner le top départ à l’ambitieux projet.
Réunis pour la signature de la convention, de gauche à droite : Frédéric Barat, représentant des conseils syndicaux, Christian Coigné, vice-président du Département, Christophe Ferrari, président de la Métropole, Lionel Beffre, préfet de l’Isère, Éric Piolle, maire de Grenoble, et Patricia Dudonné, présidente de la SDH. © Florent Mathieu – Place Gre’net
Celui-ci s’étale dans le temps. S’il a été initié en 2013, plusieurs années de préparation ont été nécessaires pour aboutir à la signature de la convention. « Après cette première étape, il n’y a aucune raison que l’on ne réussisse pas la deuxième ! », juge avec soulagement Patricia Dudonné, présidente de la Société dauphinoise pour l’habitat. Autrement dit, la préparation puis la mise en œuvre des travaux.
Une rénovation environnementale et sociale grâce au plan de sauvegarde
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