FLASH INFO — Double visite ministérielle en Isère vendredi 29 janvier. Après le déplacement de Gérald Darmanin au commissariat de Bourgoin-Jallieu le 27 janvier, c’est au tour de la ministre des Armées Florence Parly de se rendre à Vienne. Ainsi que de la secrétaire d’État chargée de la Jeunesse et de l’Engagement Sarah El Haïry, attendue pour sa part à Saint-Marcellin puis à Voiron.
Après un passage par la Haute-Savoie, Florence Parly sera présente auprès de la 27ème brigade d’infanterie de montagne à compter de 15 h 30. L’occasion pour la ministre, passée la cérémonie des honneurs militaires, d’inaugurer l’hôtellerie sociale de Varces. Puis de poser la première pierre du futur Centre de formation initiale des militaires du rang. Et enfin, d’inaugurer le foyer rénové du quartier de Varces.
Sarah El Haïry dans deux lycées voironnais
Sarah El Haïry, sera en réalité présente en Isère dès le jeudi 28 janvier. Et plus précisément à Fontaine, pour y rencontrer des adhérents du Modem 38 et « échanger sur ses actions au sein du gouvernement ». Le lendemain, la secrétaire d’État se rendra à la Mission locale Saint-Marcellin Vercors Isère à 9 heures. Objectif ? Rencontre les employés et les jeunes accompagnés. Une visite placée sous le signe du plan « 1 jeune, 1 solution ».
Dans un deuxième temps, la ministre se rendra au lycée Les Gorges de Voiron à partir de 10 h 30, pour rencontrer les équipes de l’École de la 2ème chance (E2C). Un dispositif « qui offre un accompagnement sur-mesure aux jeunes qui sortent du système scolaire sans diplôme ni qualification et se retrouvent confrontés à la difficulté de rentrer dans le monde du travail ». Le dispositif E2C compte trois sites en Isère à ce jour, à Grenoble, Voiron et Vienne.
Sarah El Haïry échangera également avec une classe sur les dispositifs d’accompagnement des élèves en situation de handicap mis en place dans le lycée. Puis se rendra à 13 h 30 dans un deuxième établissement voironnais, le lycée Édouard-Herriot, cette fois pour un échange avec les élèves de seconde sur le service national universel (SNU). Et ceci alors que l’État espère mobiliser 25 000 jeunes à l’occasion de la campagne d’inscription 2021.