FOCUS – Alors que les élections départementales se profilent, les formations de gauche EELV, PCF, Génération.s, Ensemble Grenoble Métropole, le Parti Socialiste et La France insoumise s'unissent contre la majorité sortante de droite du Département de l'Isère. Regroupés sous la bannière du Printemps isérois, les partis lancent un appel signé par près de 300 personnalités. Avec déjà un premier accroc, les Insoumis n'appréciant pas (du tout) de voir figurer le nom d'André Vallini parmi les signataires.
Une union des forces de gauche contre la majorité départementale sortante? C'est le visage que veut montrer le Printemps isérois, composé des formations EELV, PCF, Génération.s, Ensemble Grenoble Métropole, Parti socialiste et La France insoumise. Mais le mouvement annonce vouloir dépasser le champ des partis politiques pour s'adresser à "toutes les forces vives du département", dans le cadre d'un appel lancé le 6 janvier 2021. Et d'ores et déjà signé par 283 personnalités politiques locales.
Le but revendiqué du Printemps isérois? "Faire du département de l’Isère un pionnier de la révolution sociale et écologique dont le pays a besoin", écrit le mouvement. Avant d'enfoncer le clou: "Le temps est venu de révolutionner notre système de pensée pour faire de notre département un territoire plus résilient, résistant & solidaire, qui prenne enfin en compte l’urgence de la transition écologique et la nécessaire protection des individus".
La politique de la majorité départementale sévèrement critiquée
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