FLASH INFO – Harcelée et menacée de mort pour avoir critiqué l’islam à plusieurs reprises, Mila a été éloignée du lycée militaire où elle suivait sa scolarité. La jeune lycéenne iséroise avait révélé le nom de l’établissement qui l’accueillait.
D’abord déscolarisée de son établissement d’origine, le lycée Léonard-de-Vinci de Villefontaine, dans le Nord-Isère pour des raisons de sécurité, Mila avait fini non sans mal par trouver refuge dans un internat miliaire pour poursuivre sa scolarité
Un établissement tenu secret. Mais dont le nom avait été rendu public par la jeune Iséroise lors d’un échange sur les réseaux sociaux. Résultat, Mila a une nouvelle fois été mise à l’écart.
Non pas exclue comme s’en était indigné son père dans une lettre ouverte dans Le Point, mais écartée physiquement de l’établissement. Pour suivre les enseignements à distance, le ministère des Armées estimant à son tour que sa sécurité n’était plus assurée. « La sécurité de Mila, et des autres élèves, reste (la) priorité ».
« Dans le jargon militaire, on appelle ça une capitulation »
« Je suis effondré par autant de lâcheté et de démission. Après l’Éducation nationale, c’est l’armée qui renonce à scolariser une gamine de 17 ans », avait dénoncé son père. Le ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer s’est dit prêt à recevoir Mila et sa famille, a indiqué la secrétaire d’État chargée de l’Éducation prioritaire, Nathalie Elimas, sur France Bleu Isère lors d’une visite dans un collège de Charvieu-Chavagneux.
PC