ENTRETIEN – Nouvellement élu président du Syndicat mixte des mobilités de l’aire grenobloise, Sylvain Laval a accepté de nous dévoiler les grands axes de son projet au cours d’un entretien, le 14 octobre 2020. Le maire de Saint-Martin-le-Vinoux et vice-président à la Métropole de Grenoble ne souhaite pas marquer de rupture par rapport à son prédécesseur à la tête du Smmag. Un syndicat commun à trois territoires, qui a pour but d” « améliorer le quotidien des habitants du territoire ».

Sylvain Laval, nouveau président du Smmag. © Laure Gicquel – Placegrenet.fr
Très peu connu du grand public si ce n’est dans la commune de Saint-Martin-le-Vinoux dont il est maire, Sylvain Laval, vice-président métropolitain, a pris le 8 octobre 2020 la relève de Yann Mongaburu, qui assurait jusque-là la présidence du Smmag. Une prise de fonction qui s’est faite sous le feu des critiques d’EELV Métropole de Grenoble. Le parti écologiste a ainsi qualifié dans un communiqué de presse Sylvain Laval de « président sans projet mais pas sans couleur politique ». Celui-ci avait été élu le jour même face à Florent Cholat, le candidat présenté par Une métropole d’avance (Uma).
Interrogé sur son ressenti face aux commentaires acides d’EELV parus le jour même de son élection, Sylvain Laval botte en touche. « C’est le communiqué de presse d’un parti politique. Ce sont leurs opinions politiques, dans un positionnement de posture. » Il déclare seulement, « à titre personnel », regretter ces propos d’EELV. Qu’il ne « trouve pas à la hauteur de la situation ». Et rappelle l’objectif du Smmag : « améliorer le quotidien des habitants de notre territoire, des usagers, sur les questions de mobilité. »
« Je ne suis pas là pour créer des oppositions artificielles » assure Sylvain Laval
En toutes choses il faut des références. Nous avons désormais celle de Yann Monbagourou, employé de sécurité sociale aussi vite propulsé président du SMTC que redevenu un rien du tout.
On a pu voir qu’il est aussi adulé d’un microcosme sectaire que détesté de tout le monde, car il représente tout le mal que l’écologie politique fait à l’écologie progressiste : dogmatisme à la place de la compétence, mépris du citoyen considéré comme ignare, manipulation des chiffres et des faits, réalité systématiquement travestie en com” biaisée, discours à géométrie variable selon les situations.
Il faut remercier Yann Monbagourou d’avoir incarné jusqu’à la caricature ce qu’il ne faut pas être, ce qu’il ne faut pas faire. Car sans doute y avait-il besoin de ces déviances pour que l’écologie devienne chose sérieuse.
Bah oui tiens, hors du camp de la verité des verts et rouges de EELV, point de salut 👎Piolle & co ne digèrent pas leurs échecs a la Métropole et au SMMAG🙄