DÉCRYPTAGE – Le syndicat Force ouvrière accuse la Ville de Grenoble de faire preuve de « violence administrative et d’acharnement contre certains de ses agents ». Faute de dialogue suffisant, selon FO, des agents s’estimant « maltraités » se pourvoient ainsi au tribunal. Ce qui coûterait cher à la Ville et in fine aux contribuables. Des affirmations que conteste point par point Pierre Mériaux, nouvel adjoint en charge du personnel. Pour qui le secrétaire général de FO mélange ses casquettes de syndicaliste et de conseiller municipal d’opposition…

Des représentants du syndicat FO, une parent d’élève de l’école Sidi Brahim, (au centre) et trois agents en procès contre la Ville de Grenoble en août 2020. © Séverine Cattiaux – Place Gre’net
À en croire le syndicat Force ouvrière, le management de la Ville de Grenoble n’est pas loin de friser la maltraitance psychologique à certains égards.
Plusieurs agents municipaux se retrouvent ainsi contraints d’engager des actions en justice contre la Ville, parce qu’ils n’ont pas pu plaider leur cause autrement, fustige le syndicat.
Bras de fer judiciaires avec la Ville
Franchement, de la part de l’élu dire cela : » concerne 20 agents en recours ce n’est pas grave », c’est vraiment ne pas comprendre l’état de souffrance dans lequel sont ces agents ?
Et dire que les avocats parisiens sont meilleurs, c’est sympa pour les avocats grenoblois ? FO ne lâchera rien !
Sans rire..🤔