REPORTAGE – Après deux mois de blocage institutionnel, le conseil métropolitain de Grenoble-Alpes Métropole se réunissait ce vendredi 18 septembre à Alpexpo pour élire ses vice-présidents. L’occasion de tourner la page du 17 juillet, jour de l’élection tumultueuse de Christophe Ferrari à la présidence de la Métro qui avait débouché sur une crise ouverte au sein de la gauche.

Le conseil métropolitain à Alpexpo © Laure Gicquel
Ce vendredi 18 septembre à 10 heures s’ouvre le conseil métropolitain qui doit permettre d’élire les vice-présidents de Grenoble-Alpes Métropole et de procéder à un cortège de désignations. La séance se déroule – du fait de la crise sanitaire – à Alpexpo, où il est plus aisé de respecter les mesures de sécurité. Christophe Ferrari présente rapidement le nouveau système de scrutin électronique, avant d’entrer dans le vif du sujet avec l’ordre du jour.
Et là, surprise : celui-ci annonce ne souhaiter présenter que huit candidats issus des deux groupes qui le soutiennent, à savoir, Arc des communes en transitions écologiques et sociales (Actes) et Notre Métropole commune (NMC). Ce, alors que vingt vice-présidences sont ouvertes au scrutin.
« Je serai amené sans aucun doute à convoquer un nouveau conseil métropolitain très rapidement, peut être la semaine prochaine, pour aboutir à ces vingt vice-présidents. », assure-t-il. Mais les élus du groupe Une Métropole d’avance (Uma) et Communes, coopération et citoyenneté (CCC) ne l’entendent pas de cette oreille…
Mme burqini pour intégrer la jeunesse et le dinosomaire d’Echirolles pour renouveler l’urbain, c’est sérieux ou c’est pour rire ?
la bataille pour la répartition des places autours de la gamelle n’est pas finie, c’est juste devant le danger de perdes des places, les gauchos on su « oublier » leurs differences, pour un petit moment