FOCUS – Le conseil municipal du 17 décembre a entériné le choix des projets finalistes retenus pour « réveiller » quatre édifices de la Ville de Grenoble dans le cadre de Gren’ de projets. Les coups portés contre ce dispositif sont venus des deux élues de l’opposition qui ont participé au comité de sélection.
Le Pavillon de la caserne de Bonne, la Grande Orangerie, la Villa Clément et le Couvent des minimes semblent bien partis pour connaître une seconde vie.
À l’issue de l’appel à projets baptisé Gren” de projets, ces quatre édifices, que la Ville ne peut plus entretenir, ont trouvé chaussures à leur pied.
Lancé à l’automne 2017, Gren” de projets « vise à valoriser et réveiller une partie de son patrimoine immobilier », a rappelé Maud Tavel, adjointe au patrimoine lors du conseil municipal, ce lundi 17 décembre.
Un dispositif aux « fondements peu clairs »
Anouche Agobian, conseillère municipale de l’opposition du groupe Rassemblement de gauche et de progrès, a salué le bon travail mené par le comité de sélection, auquel elle a participé. Ce qui ne l’a pas empêchée de pointer des failles dans le dispositif. Selon l’élue, le choix de certains bâtiments n’était en effet pas judicieux, au vu des critères de sélection retenus.
Comment avoir plus d’information sur ces projets et savoir qui sont les associations en lice ?
Nous vous invitons à consulter l’encadré ajouté en fin d’article et à (re)lire cet article : Dix projets en lice pour quatre bâtiments grenoblois : Gren’ de projets avance en dépit des critiques.
Vivement que les élus responsables se retrouvent au judiciaire 😊
payer correctement les élus.
MAIS : arrêter la gratuité.
MAIS : rendre responsable de ses actes.
(pour les Pro Carignon, détournez les yeux ou fermez la page.
Un responsable politique peut et doit être responsable au risque d’être condamné pour ses pratiques et actes si ces derniers sont reconnus délictueux)