Il était « le soleil de la course », dixit Antoine Blondin, mais un soleil noir, une légende striée d’ombre. Hervé Bougel a entrepris dans un court texte de faire revivre la lumière paradoxale de Luis Ocaña. En 71 fragments, ce tombeau poétique fait vibrer les échos d’une épopée qui s’acheva dans le claquement d’une arme à feu.
Herve Bougel au Col de Menté – DR
L’orgueil et la douleur
71 fragments pour dire le combat d’un homme.