Dans une lettre datée du jeudi 26 décembre, Jérôme Ripoll, ancien candidat à la primaire locale de l’UMP, réclame des engagements écrits aux cinq prétendants aux prochaines élections municipales de Grenoble.

© Nils Louna
Sa lettre, adressée le jeudi 26 décembre « à tous les candidats aux élections municipales de Grenoble 2014 », résonne comme un véritable coup de gueule.
Après avoir dénoncé « le carnage à l’UMP grenoblois » lors des primaires de la droite et du centre, puis claqué la porte de son parti en juillet dernier, Jérôme Ripoll fait son retour dans le paysage politique grenoblois.
Avec cette lettre au ton acerbe, cet ancien syndicaliste à la CGT et ancien vice-président de l’UMP 38 montre qu’il compte bien peser sur le débat des municipales à Grenoble.
Reste à savoir si les cinq prétendants au poste de maire (Jérôme Safar, candidat socialiste, Eric Piolle, candidat écologiste, Matthieu Chamussy pour l’UMP, Philippe de Longevialle pour le Modem et Denis Bonzy sans étiquette), tous élus ou anciens élus, apprécieront le contenu du message qui leur est directement adressé : « Le saviez-vous ? La France, en 2006 détenait le record mondial du nombre d’élus : 601 132. Les problèmes du quotidien sont résolus par des procédures déterminées par l’administration. Alors à quoi servent les élus français ? ».
Mais la lettre de Jérôme Ripoll n’est pas un simple cri de colère. Elle constitue aussi un ultimatum lancé aux candidats. Non cumul des mandats, transparence sur les liens d’intérêts, prise en charge des frais personnels par l’élu ou encore obligation d’un casier judiciaire vierge. Au total, pas moins de dix points sur lesquels, l’actuel chef de file du « collectif de syndicalistes : aux urnes les citoyens » attend des réponses précises avant le 10 janvier 2014.
En fonction de ces dernières, Jérôme Ripoll indique que son collectif « sera en mesure de se positionner courant janvier 2014 ».
Que de leçons de la part d’un faux-candidat qui parle de tout, touche à tout, s’occupe de tout, fout la pagaille partout où il passe et qui finalement ne s’arrête nulle part (pierre qui roule n’amasse pas mousse… et c’est pour cela qu’il a tâté à tous les bords : droite (UMP), centre, gauche (PS), CGT, re-droite, re-CGT.…). Et de surcroit il n’est pas Grenoblois car a toujours résidé à Montbonnot ?????
Ses interventions (que lui seul croit spectaculaires) sont stériles et surtout inaudibles. Il fait parti de ceux qui passent sans laisser de traces et qui s’énervent contre le monde entier parce qu’ils se rendent compte que personne ne les prend au sérieux. Sa « lettre ouverte aux candidats » est une mascarade pour tenter de continuer à exister ! Qui lui répondra ? Grande énigme car sourds sont ceux qui veulent l’éviter.
Mr Fodil, vous semblez très aux faits de la politique Grenobloise, aussi nous souhaiterions vous poser une question :
Pouvez-vous nous indiquer l’origine des fonds qui ont permis de payer le magnifique tract couleur qu’avait fait distribuer Mr Carignon ?
Enfin, pourquoi voulez-vous éviter des questions de bon sens et des questions qui mettent en avant l’honnêteté soulevées par Mr Ripoll ?