EN BREF – Le festival Écho est de retour ! Pour l’occasion, six compagnies de danse se produiront les 8 et 9 juillet 2022 au Musée dauphinois de Grenoble, de 21 heures à 23 heures. Deux jours pour mettre à l’honneur la danse contemporaine.
Créé en 2011 sous le nom de festival Danse Beauregard, puis reconfiguré dans sa forme actuelle en 2018, le festival de danse contemporaine Écho revient au Musée dauphinois le vendredi 8 et le samedi 9 juillet.
Son ambition ? « Faire écho à d’autre formes artistiques en invitant des compagnies émergentes dans un lieu patrimonial […], expliquent les organisateurs. Chaque édition propose une diversité de chorégraphies qui ouvre toujours plus l’éventail de la création. » Mais l’idée est aussi de faire participer le public. « L’énergie des danseurs se transmet peu à peu aux spectateurs qui saisissent cet instant privilégié d’échanges au cours de deux soirées. »
Six spectacles de danse à découvrir
Au programme, pas moins de six performances sur deux jours, de 21 heures à 23 heures. D’une durée de 15 à 55 min, chaque spectacle reposera sur un à huit interprètes. Le tout accompagné d’une musique, d’un texte ou d’images.
Par ailleurs, une masterclass précédera ou suivra quatre des six danses avec la compagnie offrant la prestation (inscription obligatoire). « Chaque compagnie annoncera la genèse de son travail chorégraphique. Temps pour vous de chahuter vos corps, envisager une autre forme de danse, s’offrir un rendez-vous convivial et repartir autrement, la tête dans les nuages », promettent les organisateurs. L’occasion de s’intéresser à la genèse de la performance. Enfin, un bal dansant clôturera le festival de 23 h 30 à 3 h 30 au Jardin du Musée dauphinois.
Attention ! L’entrée se fait uniquement sur réservation, en ligne ou sur place.
Pour patienter, le synopsis de la danse qui ouvrira le bal :
« Un corps fatigué, éteint, un corps contrarié, le tic tac incessant de l’horloge, le temps qui se dilate, et pourtant… Une femme âgée réveille au fond d’elle-même la jeune personne qu’elle était. Un esprit vagabond à l’intérieur de son être commence à s’éveiller, des sensations qui reviennent, des odeurs, la nature, le vent, une musique intérieure.
Contrer l’ennui ! Embrasser la mort. Un dernier printemps.
Le corps se lève dangereusement, un élan sensuel, un rêve peut-être ? »