EN BREF - Les taxis de Grenoble étaient de retour devant l'Hôtel de Ville jeudi 16 septembre, soit une semaine à peine après un premier rassemblement. En cause? La demande d'accès aux zones piétonnes Place(s) aux enfants et du respect des places de stationnement réservées aux abords de la gare. Au final, le représentant syndical se dit "rassuré" par sa seconde entrevue avec l’adjoint Gilles Namur. Mais pas forcément la base…
Les taxis grenoblois n'ont pas l'intention de lâcher le morceau. Une semaine jour pour jour après un premier rassemblement, les chauffeurs de taxis étaient de retour jeudi 16 septembre 2021 devant l'Hôtel de Ville de Grenoble. Plusieurs dizaines de véhicules ont donné de la voix pour protester (toujours) contre les difficultés d'accès aux zones piétonnes Place(s) aux enfants. Mais aussi aux zones réservées, autour de la gare de Grenoble.
Des engagements avaient pourtant été pris par la municipalité, assuraient au lendemain du premier mouvement le conseiller municipal Yann Mongaburu. Rien de concret, jugeait pour sa part Jean Galvin, président de la Chambre syndicale des taxis de Grenoble. "On nous avait promis des accès pour les enfants handicapés, on rencontre encore des problèmes", déclare-t-il une semaine plus tard, toujours aussi remonté.
Alain Carignon à la rencontre des chauffeurs en colère
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