FIL INFO — Geneviève Darrieussecq, ministre déléguée auprès de la ministre des Armées, se rendra à l'École des pupilles de l'air Grenoble-Montbonnot mercredi 23 septembre. Une visite pour marquer son soutien après la mort de deux lycéens de l'établissement, tués dans le crash d'un avion de tourisme le 12 septembre 2020.
Geneviève Darrieussecq. DR
Geneviève Darrieussecq est attendue à l'École des pupilles de l'air (EPA) Grenoble-Montbonnot mercredi 23 septembre. Ministre déléguée auprès de la ministre des Armées, en charge de la Mémoire et des Anciens combattants, Geneviève Darrieussecq se rend à l'EPA "pour soutenir les familles de l’aéronautique militaire et civile", indique la préfecture de l'Isère par voie de communiqué.
L'École des pupilles de l'air est en effet lourdement endeuillée. Le samedi 12 septembre, deux de ses lycéens ont trouvé la mort dans le crash d'un avion de tourisme dans le massif du Vercors. Un accident au cours duquel une femme de 42 ans a également péri. Outre une marque de soutien "aux élèves ainsi qu’à la communauté éducative et de défense", la ministre déléguée s'entretiendra également avec la cellule psychologique mise en place suite à l'accident.
Remise d'insignes aux nouveaux arrivants
Geneviève Darrieussecq visitera ensuite le site du stade d'honneur de l'École, en cours de rénovation. Une rénovation financée à hauteur de 1,3 million d'euros par le ministère des Armées. Et qui s'inscrit dans le cadre du plan Lycées de la Défense, initié à l'occasion de la rentrée scolaire 2018-2019. "Les travaux [du stade d'honneur] ont débuté en juin et doivent se terminer en novembre de cette année", indiquent les services de l'État.
Dans une classe de l'EPA. © Facebook - École des pupilles de l'air
La ministre déléguée remettra par la suite l'insigne de l'École des pupilles de l'air aux élèves des classes de 6e lors d'une cérémonie de remise d'insignes aux nouveaux arrivants. Au programme pour finir, un temps d'échange avec les encadrants et les équipes pédagogiques de l'établissement. Le tout, comme souvent lors des visites ministérielles, en moins de trois heures.
Florent Mathieu
