FOCUS - Les agents du service d'accueil de l'Hôtel de ville de Grenoble étaient en grève lundi 17 février pour réclamer une augmentation de salaires et protester contre la hausse de leur charge de travail. Un mouvement accompagné d'une polémique, puisque l'intersyndicale FO-CFTC accuse la Ville d'avoir cherché à “casser” la grève. Démenti formel côté municipalité.
Mouvement de grogne chez les agents d'accueil de la mairie de Grenoble. Lundi 17 février, l'ensemble du personnel d'accueil de l'Hôtel de ville était en grève pour demander des revalorisations salariales, ainsi qu'une prise en compte des nouvelles charges et modalités de travail qui leur incombent. En cause ? Une réorganisation de la direction Relations citoyennes, avec de nouvelles missions à la clé.
La demande principale des agents ? La requalification du niveau de cotation Rifseep (Régime indemnitaire des fonctionnaires de l'État) du niveau 1 au niveau 5 bis, selon le tableau établi par la municipalité. De quoi revaloriser l'indemnité de fonctions, de sujétions et d’expertise des agents à hauteur de 90 euros bruts, en passant de 220 à 310 euros.
Pas d'augmentation de salaires en vue, répond la Ville
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