FOCUS - Les associations iséroises de travail social étaient conviées à la préfecture de l'Isère le 12 septembre dernier, à l'invitation de la sous-préfète en charge de la politique de la ville et de la directrice départementale de la Cohésion sociale. Le but ? Indiquer aux porteurs de projets les orientations de l'État en matière de Quartiers politique de la ville et les champs actions qui seront au final retenus pour financement.
« Il est important de bien communiquer pour que vous compreniez ce que nous attendons et les raisons qui motivent les choix des dossiers. » C'est ainsi que la sous-préfète déléguée à la politique de la ville Chloé Lombard a accueilli les représentants des associations de l'Isère, le 12 septembre dernier.
Les travailleurs sociaux étaient alors invités à une présentation des objectifs de l'État concernant les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV). Des objectifs qui s'accompagnent de financements d'actions et de crédits alloués aux associations et à leurs projets pour 2020. D'où l'importance pour l'État de fixer ses priorités auprès de ses partenaires.
« L'objectif, c'est que tout le monde se mobilise un peu plus qu'ailleurs dans ces quartiers et que les financements soient là pour financer ce qui ne peut l'être autrement, et qui émane le plus possible des habitants », a expliqué Chloé Lombard.
Près de 3 millions d'euros pour les quartiers politique de la ville en Isère
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