FOCUS – Dénouement en demi-teinte d’une l’affaire de conflit de voisinage qui opposait une propriétaire et une famille de locataires d’Actis, dans un immeuble du centre-ville de Grenoble. Au grand soulagement du voisinage, la famille accusée de tapage nocturne et moult nuisances a été expulsée, ce mercredi 18 septembre… plus de six mois après une décision judiciaire. L’association Droit au logement déplore quant à elle qu’aucune solution d’hébergement temporaire n’ait été prévue.
Une famille de cinq enfants, locataire du bailleur Actis, a été expulsée ce mercredi 18 septembre du logement, qu’elle occupait depuis un bon moment en centre-ville de Grenoble. Les voisins vont enfin souffler…
Depuis des mois, voire des années, ceux-ci n’en pouvaient plus des nuisances occasionnées par cette famille occupant le seul logement relevant du parc social à cette adresse.
À l’instar de Juliette, habitant l’appartement situé tout juste en-dessous de celui de la famille. La cohabitation étant devenue impossible, la propriétaire avait été contrainte de quitter son appartement pour en louer un autre. Et dans le but de pousser Actis à prendre le taureau par les cornes et activer une démarche d’expulsion, Juliette a dû assigner le bailleur en justice pour trouble de jouissance. Pour la propriétaire, l’expulsion de la famille marque donc la fin du cauchemar.
La compétition est rude entre le DAL et l’alliance citoyenne bidon, pour la première place dans la défense de l’indéfendable. Le premier prix est un squat au dessus de chez soi ou un burqini, au choix.
Au grand dam du Dal ? Je leur souhaite d’avoir les mêmes voisins. Et surtout qu’ils n’osent pas porter plainte
Cette famille nuisible ne merite aucun relogement, qu’ils aillent loin de Grenoble ou mieux, au diable.
Je suis très heureux qu’enfin le droit de Juliette, a été reconnu.
L’association « Le DAL », part du principe « qu’un toit pour tous est un droit ».
Personnellement,je pense que le droit de ne pas être harcelé et de vivre
en toute tranquillité dans son appartement dûment acquis, devrait être
une formule que le DAL devrait employer.
Dans le cas de la famille locataire d’ACTIS, expulsée par décision du tribunal
la décision n’a pas à être remise en cause,car Juliette était en grand danger.
Le devoir d’un maire comme d’une association est de ne pas entraver la loi,
mais plutôt de la faire appliquée…
Humaniste, hé, hé, hé, alors qu’il met une agente de la ville dehors, il a expulsé par un référé et l’aide du juge du tribunal administratif.!
C’ est quoi « droit au logement »?! On a tous le droit de travailler. Qui travaille , gagne sa vie, y compris pour payer un logement.