Oriade-Noviale inau­gure la pre­mière pla­te­forme de bac­té­rio­lo­gie de France à Saint-Martin‑d’Hères

Oriade-Noviale inau­gure la pre­mière pla­te­forme de bac­té­rio­lo­gie de France à Saint-Martin‑d’Hères

FOCUS – Oriade-Noviale, lea­der de la bio­lo­gie médi­cale de l’arc alpin, a inau­guré  sa nou­velle chaîne de micro­bio­lo­gie, ce jeudi 4 avril. Installée à Saint-Martin‑d’Hères, Total Lab Automation BD KiestraTM intègre les der­niers pro­grès de la robo­ti­sa­tion et de la digi­ta­li­sa­tion. Une moder­ni­sa­tion aug­mente la vitesse et le volume des ana­lyses, mais aussi la qua­lité et la fia­bi­lité des résul­tats. De quoi amé­lio­rer la per­ti­nence des soins, une des prio­ri­tés de la réforme « Ma santé 2022 ». Et appuyer le déve­lop­pe­ment régio­nal du groupe.

« En France, près de 70 % des déci­sions thé­ra­peu­tiques s’appuient sur les résul­tats d’un test de diag­nos­tic en méde­cine de ville et plus de 80 % à l’hôpital », estime le Dr Philippe Cart-Lamy, pré­sident du labo­ra­toire de bio­lo­gie médi­cale Oriade-Noviale. C’est par ce constat sur l’im­por­tance du sec­teur dans la chaîne des soins que le méde­cin bio­lo­giste a intro­duit l’inauguration, ce jeudi 4 avril, de la nou­velle pla­te­forme de bac­té­rio­lo­gie du pla­teau Oriapôle situé à Saint-Martin‑d’Hères.

De gauche à droite : Nicolas Chandellier, directeur général de BD France, Jean-Marc Baïetto, directeur adjoint du CHU de Grenoble, Philippe Cart-Lamy, président d'Oriade-Noviale, Pierre-Alain Falconnet, pharmacien biologiste, co-gérant d’Oriade-Noviale et Olivier Véran, député de la 1ère circonscription de l’Isère. © Oriade-Noviale

De gauche à droite : Nicolas Chandellier, direc­teur géné­ral de BD France, Jean-Marc Baïetto, direc­teur adjoint du CHU de Grenoble, Philippe Cart-Lamy, pré­sident d’Oriade-Noviale, Pierre-Alain Falconnet, phar­ma­cien bio­lo­giste, co-gérant d’Oriade-Noviale et Olivier Véran, député de la 1re cir­cons­crip­tion de l’Isère. © Oriade-Noviale

Conçue par Becton Dickinson (BD), l’installation nom­mée Total Lab Automation BD KiestraTM intègre les der­niers pro­grès de la robo­ti­sa­tion et de la digi­ta­li­sa­tion. Ainsi, le lea­der de bio­lo­gie médi­cale de l’arc alpin, qui capte 80 % du mar­ché à Grenoble, peut désor­mais riva­li­ser, en volume notam­ment, avec les pre­miers pla­teaux tech­niques de France.

De quoi per­mettre au groupe, comp­tant déjà 52 labo­ra­toires en Rhône-Alpes, d’en­vi­sa­ger de se déployer encore davan­tage à l’é­che­lon régio­nal en s’ap­puyant sur de nou­veaux par­te­naires. Peut-être des Lyonnais avec les­quels des dis­cus­sions sont déjà engagées. 

Oriade-Noviale dis­pose en outre d’un autre argu­ment de poids pour les convaincre. En effet, cette évo­lu­tion de la pla­te­forme d’Oriapôle s’ins­crit dans le cadre de la stra­té­gie de trans­for­ma­tion du sys­tème de santé « Ma Santé 2022 », axée sur la per­ti­nence des soins. 

Plus de deux mil­lions d’investissement

Qu’en est-il concrè­te­ment ? Grâce à cette nou­velle chaîne de micro­bio­lo­gie, Oriapôle traîte désor­mais plus de 6 000 dos­siers de patients par jour, dont 1 250 pour la seule bac­té­rio­lo­gie. Soit une pro­gres­sion de 66,6 % depuis la mise en œuvre de cette nou­velle ins­tal­la­tion. Le coût de ce petit bijou bardé d’in­no­va­tions tech­no­lo­giques ? La baga­telle de 2,6 mil­lions d’euros !

La nouvelle chaine de microbiologie acquise par le groupe Oriade-Noviale. © Oriade-Noviale

La nou­velle chaine de micro­bio­lo­gie acquise par le groupe Oriade-Noviale. © Oriade-Noviale

« Actuellement, plus de 96 % de nos pré­lè­ve­ments passent par cette solu­tion inno­vante et tech­no­lo­gique », se féli­cite Pierre-Alain Falconnet, phar­ma­cien bio­lo­giste, éga­le­ment cogé­rant d’Oriade-Noviale et coor­di­na­teur de la trans­for­ma­tion de la chaîne.

Toutefois, avant d’en arri­ver là, il a fallu deux années pleines. De la réflexion ini­tiale menée en 2017 à la mon­tée en charge pro­gres­sive de la chaîne de micro­bio­lo­gie. Soit le temps néces­saire pour mener les études de mar­chés, les études tech­no­lo­giques et les tra­vaux qui ont duré sept mois, sui­vis des tests de vali­da­tion de la nou­velle plateforme.

Une trans­for­ma­tion qu’il qua­li­fie de véri­table « muta­tion ». « Auparavant, tout était manuel, de l’ensemencement, en pas­sant par l’incubation jusqu’à la lec­ture et l’interprétation des cultures bac­té­riennes », rap­pelle le cogérant.

« C’est la pre­mière ins­tal­la­tion avec cette confi­gu­ra­tion en France »

Désormais, la robo­ti­sa­tion et la digi­ta­li­sa­tion de la chaîne de micro­bio­lo­gie per­met la stan­dar­di­sa­tion des tâches, en par­ti­cu­lier l’ensemencement des bac­té­ries sur milieu de culture. Tout autant que l’automatisation du convoyage des échan­tillons entre les ense­men­ceurs, les étuves et les postes de travail.

Lors de l’analyse des échan­tillons, main­te­nant exter­na­li­sée dans une salle calme, le tech­ni­cien est éga­le­ment assisté par une « intel­li­gence infor­ma­tique » et les cultures bac­té­riennes sont sto­ckées sous forme numé­rique. « C’est la pre­mière et unique ins­tal­la­tion avec cette confi­gu­ra­tion en France ! », sou­ligne Pierre-Alain Falconnet, non sans fierté.

Schéma de la nouvelle chaine de microbiologie (au centre) au sein d'Oriapôle. © Oriade-Noviale

Schéma de la nou­velle chaine de micro­bio­lo­gie (au centre de l’i­mage) au sein d’Oriapôle. © Oriade-Noviale

Outre l’aug­men­ta­tion du volume des ana­lyses, cette « muta­tion » s’est immé­dia­te­ment tra­duite en matière de vitesse. Mais aussi « d’accroissement de la qua­lité et de la fia­bi­lité des résul­tats, notam­ment par la dimi­nu­tion du nombre d’er­reurs », sou­ligne le biologiste.

Les com­pé­tences des tech­ni­ciens sont éga­le­ment mieux uti­li­sées, grâce à une forte dimi­nu­tion des tâches manuelles « sans valeur ajou­tée ». Autant de temps libéré pour ce cœur du métier qu’est l’interprétation et l’expertise des cultures bac­té­riennes. À cela s’a­joute une « tra­ça­bi­lité désor­mais totale » des échan­tillons analysés.

La détec­tion ultra-rapide d’un panel de bactéries

L’autre inno­va­tion tech­no­lo­gique inté­grée à la pla­te­forme ? Le groupe Oriade-Noviale s’est doté d’un équi­pe­ment pour la bio­lo­gie molé­cu­laire syn­dro­mique. À savoir, la détec­tion rapide d’un panel d’a­gents infec­tieux. Jusqu’ici, pour détec­ter des bac­té­ries, « cela pre­nait vingt-quatre heures pour les bac­té­ries à crois­sance rapide, jusqu’à soixante-douze heures, voire plus, pour d’autres bac­té­ries », révèle le bio­lo­giste. Il fal­lait en effet leur lais­ser le temps de se déve­lop­per sur un milieu de culture gélosé pour obte­nir des colo­nies visibles à l’œil nu.

Techniciennes analysant des clichés des cultures bactériennes dans la salle de lecture. © Véronique Magnin – Place Gre’net

Techniciennes ana­ly­sant des cli­chés des cultures bac­té­riennes dans la salle de lec­ture. © Véronique Magnin – Place Gre’net

Les nou­velles tech­niques per­mettent de réduire consi­dé­ra­ble­ment le temps de détec­tion des bac­té­ries dans les pré­lè­ve­ments. À tel point « qu’il faut désor­mais de une à trois heures seule­ment ! », s’enthousiasme le spé­cia­liste. Par quelle magie est-on par­venu à réduire autant les délais d’analyse ?

Une cer­ti­tude : fini le tra­vail sur les bac­té­ries vivantes. La nou­velle tech­nique consiste à extraire puis ampli­fier et détec­ter l’ADN des bac­té­ries par PCR* (pour Polymerase chain reac­tion en anglais ou Réaction en chaîne uti­li­sant une poly­mé­rase). Ce grâce à la tech­no­lo­gie Becton Dickinson BD MAX™ (cf. enca­dré).

La fin de l’antibiothérapie probabiliste ?

Une chose est sûre, avec un rendu du résul­tat le jour même, la bio­lo­gie molé­cu­laire syn­dro­mique per­met au cli­ni­cien de prendre rapi­de­ment une déci­sion éclai­rée. Terminé donc les pres­crip­tions inutiles d’antibiotiques ou mal ciblées ? C’est du moins ce que pense Olivier Véran, député de la 1re cir­cons­crip­tion de l’Isère, éga­le­ment neurochirurgien.

Antibiotiques. DR

Antibiotiques. DR

Pour lui, ces tech­no­lo­gies annoncent la fin de l’anti­bio­thé­ra­pie pro­ba­bi­liste, qui contri­bue à l’anti­bio­ré­sis­tance. « Voilà qui répond par­fai­te­ment à l’une des prio­ri­tés de la réforme Ma santé 2022 concer­nant la per­ti­nence des soins », ne manque pas de sou­li­gner le député.

La rapi­dité d’a­na­lyse est aussi par­ti­cu­liè­re­ment inté­res­sante dans les cas contagieux.

Notamment pour les uni­tés de soins ou auprès de per­sonnes fra­giles comme dans les éta­blis­se­ments de per­sonnes âgées. D’une part, la prise en charge plus pré­coce réduit la gra­vité des symp­tômes. D’autre part, « plus vite sont prises les mesures adap­tées pour limi­ter la dif­fu­sion épi­dé­mique », com­plète Pierre-Alain Falconnet, citant le cas de la grippe.

« Nous inves­tis­sons en continu dans l’innovation »

« Il y a qua­rante ans, on a connu l’automatisation en bio­chi­mie, et là, c’est une petite révo­lu­tion. On voit les pre­mières auto­ma­ti­sa­tions d’une dis­ci­pline qui y avait long­temps résisté », s’est pour sa part réjouit Jean-Marc Baïetto, direc­teur adjoint du centre hos­pi­ta­lier uni­ver­si­taire de Grenoble (Chuga).

Celui-ci pre­nait part à cette inau­gu­ra­tion au titre du par­te­na­riat public – privé noué entre Oriade-Noviale et l’hô­pi­tal, fondé sur le besoin de secours mutuels. Tout par­ti­cu­liè­re­ment en cas de panne majeure de l’une de leurs ins­tal­la­tions res­pec­tives. Le Chuga s’est en effet doté du même type de pla­te­forme, tou­te­fois moins riche en options.

Présentation de la nouvelle plateforme de microbiologie lors de son inauguration. ©Véronique Magnin – Place Gre’net

Présentation de la nou­velle pla­te­forme de micro­bio­lo­gie lors de son inau­gu­ra­tion. © Véronique Magnin – Place Gre’net

Pour autant, le groupe Oriade-Noviale ne compte pas s’ar­rê­ter en si bon che­min. Philippe Cart-Lamy l’as­sure, le labo­ra­toire « inves­tit en continu dans l’innovation, en réponse aux besoins des pro­fes­sion­nels de santé et des patients ». Comment ? Grâce au par­te­na­riat solide avec Becton Dickinson dont le siège social fran­çais est situé à Pont-de-Claix. L’occasion pour Nicolas Chandellier, son direc­teur géné­ral, d’é­vo­quer le dyna­misme de l’entreprise amé­ri­caine. Une firme « en per­pé­tuelle recherche de solu­tions indus­trielles plus inté­grées pour mieux répondre aux besoins de santé », précise-t-il.

L’augmentation du volume d’activité devrait per­mettre de péren­ni­ser les emplois

Les pro­chains déve­lop­pe­ments envi­sa­gés ? « Nous allons pro­chai­ne­ment implé­men­ter la der­nière solu­tion de Becton Dickinson d’au­to­ma­ti­sa­tion des tests de sen­si­bi­lité aux anti­bio­tiques », anti­cipe Pierre-Alain Falconnet.

Technicienne à son poste sur la nouvelle plateforme de microbiologie. ©Véronique Magnin – Place Gre’net

Technicienne à son poste sur la nou­velle pla­te­forme de micro­bio­lo­gie. © Véronique Magnin – Place Gre’net

Tout cela aura-t-il pour consé­quence une réduc­tion de per­son­nels ? De fait, la robo­ti­sa­tion de la pla­te­forme induit méca­ni­que­ment une dimi­nu­tion du nombre d’intervenants dans la chaîne d’analyse. Quant à l’intelligence arti­fi­cielle, elle peut per­mettre, à terme, d’automatiser dans les cas simples, l’étape d’expertise du tech­ni­cien. C’est le cas pour envi­ron 60 % des échan­tillons. Mais le groupe compte sur l’augmentation du volume d’activité pour péren­ni­ser les cin­quante emplois de tech­ni­ciens œuvrant sur la plateforme.

Véronique Magnin

* Plus pré­ci­sé­ment par PCR temps réel multiplexe.

En savoir plus sur la tech­no­lo­gie BD MAX™ 

« La tech­no­lo­gie Becton Dickinson BD MAX™ per­met de détec­ter simul­ta­né­ment jus­qu’à huit patho­gènes à par­tir du même échan­tillon », pré­cise Pierre-Alain Falconnet. Ainsi, en une seule PCR, il devient pos­sible de détec­ter les prin­ci­pales bac­té­ries « signa­tures » d’un syn­drome infec­tieux (ensemble de symp­tômes carac­té­ri­sant un état patho­lo­gique de nature infec­tieuse). Telle que celles de la gas­troen­té­rite bac­té­rienne sur la base d’un même échan­tillon de selles.

L'instrument de PCR BD MAX. © Oriade-Noviale

L’instrument de PCR, BD MAX. © Oriade-Noviale

Autres atouts de la bien nom­mée PCR syn­dro­mique ? Cette tech­nique per­met de réduire le taux d’er­reurs et d’aug­men­ter la pré­ci­sion du diag­nos­tic. Ce, en sup­pri­mant la varia­bi­lité d’in­ter­pré­ta­tion inter-opé­ra­teurs sur des échan­tillons jusqu’ici obser­vés au microscope.

De nou­velles bac­té­ries détectables

C’est notam­ment le cas pour la détec­tion des infec­tions géni­tales chez la femme, « qui repré­sentent pour nous un gros volume de pré­lè­ve­ments », pré­cise-t-il. « La mise en place de la PCR a éga­le­ment dou­blé notre taux de détec­tion de Trichomonas vagi­na­lis », se réjouit le phar­ma­cien biologiste.

Trichomonas vaginalis. DR

Trichomonas vagi­na­lis. DR

À cette opti­mi­sa­tion de la per­for­mance ana­ly­tique s’ajoute encore l’i­den­ti­fi­ca­tion de bac­té­ries, para­sites ou virus dif­fi­ci­le­ment détec­tables par d’autres tech­niques. Ainsi, les myco­plasmes (bac­té­ries patho­gènes bien décrites dans les affec­tions géni­tales) peuvent enfin être détec­tés grâce à la PCR.

Les autres syn­dromes visés à court terme ? Les affec­tions res­pi­ra­toires mais éga­le­ment les ménin­gites virales ou bac­té­riennes et la sep­ti­cé­mie (infec­tion géné­ra­li­sée du sang).

Véronique Magnin

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