Adjoint sous le socialiste Michel Destot, candidat malheureux en 2014, le centriste Philippe de Longevialle semble parti pour remettre le couvert pour les prochaines municipales à Grenoble.

“L’Esplanade est remise en débat, pas en cause”

“L’Esplanade est remise en débat, pas en cause”

ENTRETIEN – Le pro­gramme d’aménagement de l’Esplanade de Grenoble fait l’objet de la répro­ba­tion de plus de 10 000 Grenoblois. Ils se sont réunis der­rière une péti­tion ouvrant droit à un nou­vel exa­men de ce pro­jet en conseil muni­ci­pal, ce lundi. Juste avant ce ren­dez-vous cru­cial, l’adjoint à l’urbanisme Philippe de Longevialle a répondu aux ques­tions de Place Gre’net sur l’évolution envi­sa­geable du pro­jet. Il pré­sente sa vision de l’aménagement urbain, mais ana­lyse éga­le­ment la recom­po­si­tion du centre, dont il est l’un des repré­sen­tants grenoblois. 
© Nils Louna

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Philippe de Longevialle a débuté le mili­tan­tisme poli­tique au RPR, à 18 ans, en rai­son de son « atta­che­ment au gaul­lisme ». Chargé de mis­sion auprès du secré­taire géné­ral de la mai­rie lors du man­dat d’Alain Carignon, et à ce titre rat­ta­ché à son cabi­net, il aban­donne fina­le­ment cette famille poli­tique. Il rejoint sa rivale de l’UDF, dont il prend la tête en Isère en 2000, puis du Modem38 en 2007. C’est à Meylan qu’il connaît son pre­mier suc­cès élec­to­ral, comme conseiller muni­ci­pal dans une majo­rité de centre droit. À 52 ans, cet infor­ma­ti­cien de for­ma­tion et expert en immo­bi­lier a pour­suivi son glis­se­ment vers la gauche en s’alliant à Michel Destot au deuxième tour de l’élection muni­ci­pale de 2008. Il est aujourd’hui adjoint à l’urbanisme et à l’aménagement.
Quelle est la marge de manœuvre dans le pro­jet d’aménagement de l’Esplanade exa­miné lundi soir en conseil municipal ?
C’est un dos­sier qui s’est poli­tisé avec le temps. Nous avons eu l’occasion d’en débattre à plu­sieurs reprises. D’abord dès 2008, avec les habi­tants et les com­mer­çants dans un cli­mat serein, puis en conseil muni­ci­pal en jan­vier 2012. Entre temps, cer­tains habi­tants du quar­tier s’en sont sai­sis pour deman­der le main­tien de leur qua­lité de vie actuelle. La péti­tion est deve­nue aujourd’hui un enjeu élec­to­ral qui regroupe des signa­taires s’opposant à toute forme d’aménagement du lieu. Pourtant, le quar­tier n’a pas changé depuis un demi-siècle. Le bâti est dégradé et les espaces publics ont vieilli. L’Esplanade est deve­nue un gigan­tesque par­king gra­tuit sans charme, encou­ragé par l’autoroute qui draine, chaque jour, plu­sieurs mil­liers de véhi­cules en centre-ville. Nous devons bous­cu­ler cette orga­ni­sa­tion de la mobi­lité. Le pro­jet d’aménagement de l’Esplanade vise à réno­ver ce quar­tier en créant du loge­ment neuf et en pro­té­geant le patri­moine autour de la nou­velle ligne de Tram E qui voit le jour. Il faut redon­ner du lustre et de la cou­leur à ce quar­tier qui est la porte d’entrée et la vitrine de Grenoble.
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Tout cela ne dit pas quelles conces­sions pour­ront être faites aux oppo­sants du pro­jet qui se sont mon­trés nombreux ? 
La péti­tion remet le pro­jet en débat, mais pas en ques­tion. Nous n’acceptons pas de cou­per en mor­ceaux le pro­gramme d’aménagement qui s’ancre dans un pro­jet glo­bal sur la ville. Des évo­lu­tions sont pos­sibles sur les hau­teurs, les espaces et les formes urbaines, mais ce débat doit être rai­sonné. Nous sommes dans une ville mar­quée par la ver­ti­ca­lité du fait de son envi­ron­ne­ment natu­rel et de ses construc­tions his­to­riques. L’Esplanade est un quar­tier de centre-ville, pas une ban­lieue péri­ur­baine. Nous ne pou­vons nous limi­ter à des immeubles de cinq étages, alors que la ville accueille les tours d’habitation les plus hautes de France que sont les trois tours de l’Ile Verte de cent mètres cha­cune. Une cer­taine den­sité s’impose, com­pre­nant des com­merces en rez-de-chaus­sée, où se ren­dront les habi­tants du quar­tier. Viendront s’ajouter des équi­pe­ments de trans­ports en com­mun et un parc de 6 à 7 hec­tares en bor­dure de l’Isère. Ce sera le seul de la ville. Cet espace, dont la situa­tion entre mon­tagnes et cours d’eau est excep­tion­nelle, n’est pas mis en valeur aujourd’hui.
La hau­teur de la tour est donc la seule variable d’ajustement majeure ?
Une tour a une uti­lité sym­bo­lique. Celle d’un point de repère urbain pour les per­sonnes qui ne connaissent pas Grenoble, comme le crayon de la Part-Dieu à Lyon. Cependant, les condi­tions éco­no­miques pour construire un bâti­ment de ce type ne sont actuel­le­ment pas réunies. À titre de com­pa­rai­son concer­nant la hau­teur, les habi­tants des tours de l’Île verte sont très heu­reux de vivre dans ce qui est devenu un sym­bole de Grenoble. Il faut être vigi­lant à ne pas don­ner une image biai­sée aux tours qui sont aujourd’hui, dans l’inconscient col­lec­tif, des foyers de délin­quants et des sec­teurs sous influence du tra­fic de drogues. Le pro­jet n’est pas celui des années 70, où les loge­ments sociaux étaient concen­trés dans de grandes barres d’immeubles. L’Esplanade accueillera des bâti­ments modernes et per­for­mants, avec un pro­gramme de mixité sociale com­pre­nant 30% de loge­ments sociaux et 10% d’accession sociale.
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Avec l’aménagement de ce site, ce sont plu­sieurs cen­taines de places de par­king gra­tuites appré­ciées des Grenoblois qui dis­pa­raî­tront. N’est-ce pas ris­qué alors que Grenoble est déjà congestionnée ?
Ce par­king ne cor­res­pond plus à l’usage de la voi­ture que l’on sou­haite encou­ra­ger à Grenoble. Ce sont essen­tiel­le­ment des habi­tants de Saint-Egrève, de Voreppe et du Fontanil-Cornillon qui y parquent leurs véhi­cules pour aller tra­vailler. La mise sur rails du tram E remet ainsi cette uti­lité en cause. Les par­kings-relais ont une uti­lité en péri­phé­rie, mais cer­tai­ne­ment pas en centre-ville.
Quid de la foire des rameaux à laquelle aucun nou­vel empla­ce­ment n’a été clai­re­ment pro­posé jusqu’à maintenant ? 
Nous sommes déter­mi­nés à conser­ver cet évé­ne­ment popu­laire dans le bas­sin gre­no­blois. Or la foire n’a pas tou­jours été ins­tal­lée à l’Esplanade. L’emplacement ne lui est pas réservé, pour seule­ment trois semaines par an… Nous n’avons pas de solu­tion ver­rouillée pour le moment, mais il nous reste du temps. Plusieurs pistes sont étu­diées et nous sol­li­ci­tons actuel­le­ment les dif­fé­rentes com­munes de l’agglomération, puisque le public n’est pas seule­ment gre­no­blois. Aucune n’a donné suite pour le moment. Nous avons saisi la Métro pour qu’une concer­ta­tion puisse être lan­cée à son échelle, afin de trou­ver un grand espace pérenne, acces­sible par les trans­ports en com­mun et sécu­risé. Par ailleurs, la mai­rie reçoit chaque année des cour­riers d’habitants de l’Esplanade qui se plaignent de la pré­sence de la foire, en rai­son du bruit et de la foule qui inves­tit le quar­tier. J’estime que l’argument des signa­taires qui réclament le main­tien de la foire est assez contra­dic­toire avec le res­senti réel des habitants.
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Estimez-vous que ce mou­ve­ment d’opposition à l’aménagement de l’Esplanade est récu­péré politiquement ? 
L’urbanisme cris­tal­lise des pro­blé­ma­tiques sociales. À l’origine, le col­lec­tif orga­ni­sant la péti­tion regrou­pait seule­ment des habi­tants du quar­tier. Depuis, d’autres se sont gref­fés au mou­ve­ment pour dénon­cer ce qu’ils appellent « la béto­ni­sa­tion » de la ville. Cet argu­ment déjà entendu au sujet de la Presqu’île et des quar­tiers Flaubert et de Bonne ne tient pas.
La ville a besoin d’évoluer pour le loge­ment et l’emploi et pour faire émer­ger un réseau de trans­ports en com­mun et de parcs publics. Nous avons pris le parti de lut­ter contre l’étalement urbain à la mai­rie, mais aussi dans le schéma de cohé­rence ter­ri­to­riale (SCOT) des­siné par la Métro. Les villes doivent avoir une fin pour pré­ser­ver les espaces agri­coles, les parcs régio­naux et les espaces péri­ur­bains. Il faut opti­mi­ser les espaces libres en ville, en res­tant dans des den­si­tés acceptables.
La den­sité finale pré­vue à l’Esplanade sera équi­va­lente à celle de la ZAC de Bonne. Alors que nous construi­sons 700 loge­ments par an à Grenoble, le chiffre atteint 3000 à Bordeaux et 3700 à Lyon. Nous construi­sons donc de façon rai­son­nable pour pou­voir maî­tri­ser les prix. C’est une réus­site puisque Grenoble est l’une des seules villes de France où le prix de l’immobilier a baissé de 3400 à 3150 euros / m², tout en aug­men­tant dans le péri­ur­bain. La den­si­fi­ca­tion est une poli­tique glo­bale qui ne peut être regar­dée seule­ment à tra­vers le prisme d’un seul immeuble.
Sur Place Gre’net, le pré­sident de la fédé­ra­tion isé­roise de l’UMP Jean-Claude Peyrin éta­blis­sait récem­ment un lien direct entre den­si­fi­ca­tion et délin­quance. Qu’en pensez-vous ? 
Jean-Claude Peyrin a une vision rétro­grade. Tout le monde n’a pas la chance d’avoir une villa à Meylan. Il y a des per­sonnes dans des situa­tions plus com­plexes, aux­quelles nous devons éga­le­ment répondre par de l’accession et du loge­ment social. Le lien entre den­si­fi­ca­tion et délin­quance est dan­ge­reux et faux. Il n’y a pas de délin­quance dans les tours de l’Ile verte, alors qu’il y en avait dans les petits immeubles du quar­tier Châtelet. Les pro­jets urbains menés à Grenoble sont contraires à la béto­ni­sa­tion, car nous créons des espaces verts là où il n’y avait que des toits et du gou­dron. Mais c’est un argu­ment facile puisque la béto­ni­sa­tion fait peur aux habi­tants. La délin­quance ne se résume à aucun quar­tier, ni à aucune situa­tion sociale. Il y a du tra­fic de drogues jusque dans le lycée du Grésivaudan de Meylan ! Jean-Claude Peyrin est favo­rable à une forme de ségré­ga­tion sociale qui place les riches d’un côté et les pauvres de l’autre, mais ce modèle ne fait qu’aggraver la délinquance.
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Parlons poli­tique jus­te­ment. Quel regard por­tez-vous sur la recom­po­si­tion du centre à Grenoble ? 
Être cen­triste, c’est se pri­ver de toute car­rière poli­tique. Sinon, il faut opter pour les deux par­tis bipo­laires et pro­gres­ser dou­ce­ment dans l’organisation. Le choix du centre est celui de la concer­ta­tion, lais­sant la pos­si­bi­lité de construire des alliances poli­tiques de cir­cons­tances sans aucune allé­geance ni vas­sa­li­sa­tion. C’est le contraire de ce qui est mené à l’UDI qui a clai­re­ment annoncé qu’il s’unirait tou­jours à l’UMP. Ce n’est pas un parti habité par l’idéal centriste.
Nous fai­sions davan­tage réfé­rence à l’éclatement du groupe cen­triste au conseil muni­ci­pal. La situa­tion est-elle claire désormais ? 
Il y a eu une sépa­ra­tion au moment des régio­nales de 2010, quand Stéphane Gemmani et Morad Bachir-Cherif ont quitté le groupe cen­triste. Ils ne sont d’ailleurs plus du centre puisqu’à l’élection pré­si­den­tielle der­nière, alors que tous les cou­rants étaient repré­sen­tés, c’est François Hollande qu’ils ont sou­tenu plu­tôt que François Bayrou. Ils ont mar­qué la rup­ture avec la famille cen­triste. Dont acte. Ils ne sont plus au Modem qui conti­nuera d’exister sans eux à Grenoble.
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Mais François Bayrou ne repré­sente pas le centre à lui tout seul. Vous-même aviez déclaré que le Modem était « mort » à l’occasion de votre exclu­sion en 2010.
Il y a des dis­putes dans toutes les familles poli­tiques. François Bayrou a une forte per­son­na­lité poli­tique et incarne le ras­sem­ble­ment der­rière un lea­der. Cependant, il n’est pas un homme de parti et a du mal à gérer une col­lé­gia­lité en rai­son d’un tem­pé­ra­ment soli­taire. Cela fait effec­ti­ve­ment de l’ombre à des per­son­na­li­tés qui pour­raient éclore autour de lui.
Y aura-t-il une can­di­da­ture cen­triste à Grenoble pour l’élection muni­ci­pale de 2014 ou envi­sa­gez-vous une alliance dès le pre­mier tour ?
Nous sommes en mesure d’avoir des alliances avec des per­son­na­li­tés poli­tiques modé­rées à l’échelle locale, comme avec Alain Juppé à Bordeaux, François Rebsamen à Dijon ou Gérard Collomb à Lyon. Concernant Grenoble, une alliance poli­tique s’est for­mée en 2008 quand la majo­rité s’est sépa­rée du cou­rant éco­lo­giste qui était en rup­ture. Je suis satis­fait de cette col­la­bo­ra­tion. Il sera néan­moins impor­tant que la sen­si­bi­lité cen­triste puisse s’exprimer aux muni­ci­pales. Nous envi­sa­geons donc de pré­sen­ter une liste.
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Vous avez eu l’occasion de tra­vailler à Grenoble avec une majo­rité de droite, puis dans une majo­rité de gauche. Quelle était la situa­tion la plus confortable ? 
Leurs diver­gences sont idéo­lo­giques mais le fonc­tion­ne­ment est le même. J’ai davan­tage d’affinités avec les orien­ta­tions poli­tiques pro­po­sées par la majo­rité actuelle. Et le constat du retour d’Alain Carignon à droite ne fait que confir­mer mon choix. Mais quand le pou­voir se pro­longe, les habi­tudes s’installent et deviennent pro­blé­ma­tiques. Il faut aussi savoir s’ouvrir à d’autres hori­zons pour par­ta­ger le pou­voir dans le cadre d’alliances locales.
Votre hori­zon peut-il s’étirer jusqu’aux éco­lo­gistes, bien qu’ils vous reprochent votre passé dans l’équipe d’Alain Carignon ? 

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Avec l’écologie oui. Avec les éco­lo­gistes gre­no­blois non. Leurs posi­tions sont trop tran­chées et uti­lisent de basses méthodes. Ils n’ont pas digéré d’avoir été écar­tés de la majo­rité en 2008, au pro­fit du centre, et se vengent avec des attaques for­mu­lées par l’ADES sur ma vie pri­vée, rejoint depuis par l’UMP38. Cela tra­duit l’impossibilité d’un débat poli­tique serein avec ces for­ma­tions. Même si j’ai des désac­cords avec eux, je ne m’abaisse pas à atta­quer leurs diri­geants comme eux le font, alors même que la ministre du Logement, Cécile Duflot, défend la den­si­fi­ca­tion. Par ailleurs, le plan local d’urbanisme que l’on applique aujourd’hui a, pour rap­pel, été conçu en 2005 par les éco­lo­gistes Pierre Kermen et Maryvonne Boileau.
Propos recueillis par Victor Guilbert
N. B. 1 : L’entretien a été réa­lisé à Grenoble le mardi 11 juin dans le bureau de Philippe de Longevialle à l’Hôtel de ville. Il n’a pas été sou­mis à relecture. 
N. B. 2 : La pré­sen­ta­tion de Philippe de Longevialle men­tion­nant sa fonc­tion de direc­teur de Cabinet d’Alain Carignon a été modi­fiée le 18 juin 2013, suite à une remarque de ce der­nier, indi­quant qu’il n’a­vait eu « aucune fonc­tion de direc­tion auprès de lui ». Et celui-ci de pré­ci­ser : « J’ai certes été chargé de mis­sion auprès du secré­taire géné­ral de la mai­rie de l’é­poque, et à ce titre rat­ta­ché au cabi­net mais je n’ai assisté à aucune réunion de cabi­net ni encore moins par­ti­cipé à l’ac­ti­vité du cabi­net. Chacun sait d’ailleurs que mes rela­tions avec Alain Carignon n’ont jamais été au beau fixe. J’ai d’ailleurs quitté le RPR en 1993. »
- Consultez ici les autres entre­tiens poli­tiques du Dimanche de Place Gre’net. 

VG

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