FOCUS – La 7e édition du Grand Rassemblement (GR7), événement artistique tout terrain porté par le Centre chorégraphique national de Grenoble (CCN2), aura lieu les 25 et 26 juin 2022 sur les contreforts de la Bastille. Le temps de s’emparer des chemins menant à la cité du Rabot pour profiter gratuitement de balades artistiques, concerts, spectacles, performances, rencontres, ateliers et d’une conférence. Le tout dans le cadre de l’année Grenoble capitale verte européenne 2022.
« L’année dernière, nous avons investi le massif de la Chartreuse et, cette année, nous avons choisi de partir à l’aventure sur les chemins de la Bastille et de la cité du Rabot », a expliqué Erell Melscoël, directrice adjointe du Centre chorégraphique national de Grenoble (CCN2), lors de la présentation de la 7e édition du Grand rassemblement (GR7), le 2 juin au Musée dauphinois. Un site que l’organisation de Grenoble capitale verte européenne 2022 (GCVE) – dont le GR7 est partenaire – souhaitait investir, la Ville de Grenoble ayant érigé l’emblématique colline en « lieu totem » de cet événement.
Au programme ? Un week-end tout public, gratuit et « joyeusement éclectique », avec des balades artistiques, spectacles, concerts et performances, ponctués d’un DJ set 100 % féminin. Le tout au fil « d’œuvres d’art vivantes qui dialoguent avec les paysages qui nous entourent », promet l’organisation.
« Faire apparaître l’art là où on ne l’attend pas »
« De fait, l’ADN du Grand rassemblement entre parfaitement en résonance avec les différents enjeux que porte GCVE, poursuit la directrice adjointe. En effet, depuis ses prémices, il s’attache à défendre et porter les valeurs écologiques et sociales avec une programmation en phase avec la nature, l’environnement et les paysages. Et ce, tant que faire se peut, dans un souci d’éco-responsabilité. »
Comment ? Notamment « en privilégiant une majorité d’artistes régionaux pour réduire l’impact environnemental en matière de déplacements et des projets en lien avec l’environnement », indique Erell Melscoël. Aussi, « évitons-nous au maximum de faire venir des scénographies importantes sur les sites investis », assure-t-elle.
Poursuivez votre lecture
Il vous reste 80 % de l’article à lire. Obtenez un accès illimité.
Vous êtes déjà abonné.e ? Connectez-vous