La marque d’é­qui­pe­ment out­door Vertical signe un par­te­na­riat com­mer­cial avec l’en­seigne Go Sport

La marque d’é­qui­pe­ment out­door Vertical signe un par­te­na­riat com­mer­cial avec l’en­seigne Go Sport

FLASH INFO — « Désormais, Vertical ne s’adresse plus seule­ment qu’aux experts de la mon­tagne mais s’ouvre à une clien­tèle out­door plus large ». C’est ainsi que la marque isé­roise résume l’an­nonce de son par­te­na­riat com­mer­cial avec l’en­seigne (tout aussi isé­roise) Go Sport. Les deux acteurs ont offi­cia­lisé leur alliance au mois de jan­vier 2022.

« Les équipes de Vertical ont asso­cié leur savoir-faire à celles de Go Sport pour co-déve­lop­per de nou­velles gammes : chaus­sures de ran­don­née, t‑shirts Made in France, tenues de ski alpin, [ou encore] casques », écrit la marque. Des nou­veaux pro­duits, ajoute-t-elle, en par­tie conçus dans « l’out­door-lab Raidlight- Vertical » de Saint-Pierre-de-Chartreuse. Raidlight a en effet racheté la marque en 2010. La marque était ini­tia­le­ment pro­priété de Francital.

L'équipe de Vertical - Raidlight, à Saint-Pierre-de-Chartreuse. La marque s'engage dans un partenariat commercial avec Go Sport. © Vertical

L’équipe de Vertical – Raidlight, à Saint-Pierre-de-Chartreuse. La marque s’en­gage dans un par­te­na­riat com­mer­cial avec Go Sport. © Vertical

Pour Vertical, le par­te­na­riat a pour but d’aug­men­ter sa visi­bi­lité et ses ventes. Là où Go Sport peut « enri­chir ses rayons out­door de pro­duits de qua­lité ». « L’engouement des fran­çais pour les sports de mon­tagne est indé­niable et miser sur une marque de qua­lité et d’innovation nous per­met d’être agiles et de co-déve­lop­per plus rapi­de­ment des nou­veaux pro­duits », décrit Olivier Périer, res­pon­sable des pra­tiques spor­tives out­door de Go Sport.

« Déjà dis­tri­buée en France et à l’international via un réseau de 80 reven­deurs, les pro­duits Vertical sont éga­le­ment dis­po­nibles depuis cet hiver dans les 130 maga­sins Go Sport de France », indique la marque. Qui compte sur le par­te­na­riat com­mer­cial pour qua­dru­pler son chiffre d’af­faires. Objectif affi­ché : « un CA espéré de 4 mil­lions d’eu­ros à deux ans », écrit-elle. Contre 1 mil­lions d’eu­ros à l’heure actuelle.

Florent Mathieu

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