FOCUS - L'intersyndicale de la Ville de Grenoble adresse une lettre ouverte au maire Éric Piolle pour tirer à boulets rouges sur son adjoint au Personnel, Pierre Mériaux. Et annonce refuser de participer aux futures réunions avec l'élu. De son côté, le principal intéressé relativise, en expliquant la posture des syndicats par "l'impasse" dans laquelle leurs revendications les auraient mis.
Une "rupture du dialogue social" à la Ville de Grenoble? C'est ce que dénonce l'intersyndicale, composée de la CGT, FO, CFDT, Solidaires, CNT et CFTC, dans une lettre ouverte adressée au maire de Grenoble. Courrier dans lequel les organisations syndicales évoquent une dégradation des relations avec l'adjoint au Personnel Pierre Mériaux... sans ménager leurs critiques, ni modérer leur champ lexical.
Morceaux choisis? "Méthodes inacceptables et peu déontologiques de l’élu au personnel", "Monsieur Mériaux confond information et concertation et nous donne constamment des leçons de syndicalisme", "ambiance délétère", "posture inadaptée et prises de position déplacées et arrogantes impropres à des échanges sereins et constructifs", "provocations et manque de respect"...
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