FOCUS - A Grenoble, l'analyse sanitaire des eaux usées, dans l'objectif de déceler une contamination accrue au Sars-Cov2, est sur les rails. Depuis juin dernier même. Mais alors que le dispositif initié en interne par la Métropole rejoint le réseau national Obépine, difficile d'y voir bien clair dans les mesures mises en œuvre derrière.
A Grenoble, les eaux usées sont aussi analysées, depuis juin, pour déceler des traces de contamination au Sars-Cov2 © Tim Buisson – Place Gre’net
Depuis juin dernier, les eaux usées de l'agglomération grenobloise sont passées au peigne fin. Objectif ? Y déceler des traces de contamination au Sars-Cov2 pour pouvoir potentiellement anticiper un rebond de l'épidémie.
Car si le Sars-Cov2 est un virus respiratoire, il peut être présent en quantités dans le tube digestif pour être ensuite excrété dans les selles bien avant que les symptômes fassent leur apparition.
A Marseille, le dispositif initié par les marins-pompiers a depuis longtemps fait ses preuves. A Grenoble, où il a été mis en œuvre en juin dernier au sein de la régie assainissement de la Métropole, il s'est également révélé concluant.
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