FOCUS – Des occupants de l'immeuble squatté quartier de l'Abbaye et l'association Droit au logement (Dal 38) donnaient une conférence de presse ce mercredi 10 février 2021. Faisant le point sur deux mois de tension avec la Ville de Grenoble et le bailleur Actis –qu'ils accusent de mentir –, ils proposent désormais un plan de sortie de crise. Des accusations et solutions que rejette Céline Deslattes, élue déléguée à la grande précarité.
« Aujourd'hui, nous faisons une conférence de presse pour remettre les choses dans leur contexte face aux mensonges de Nicolas Beron-Perez et d'Élisa Martin. »
Ce mercredi 10 février 2021, des occupants de l'immeuble squatté du quartier de l'Abbaye et l'association Droit au logement de l'Isère (Dal 38) faisaient le point après deux mois de tension avec la Ville de Grenoble et Actis.
Et plus particulièrement suite aux pourparlers initiés le 31 janvier avec Nicolas Beron-Perez, vice-président de la Métropole chargé de l'habitat, du logement et de l'hébergement (qui en a de son côté fait le compte-rendu). Une réunion dont la Métropole de Grenoble avait accepté le principe, tandis que Céline Deslattes, élue chargée de la grande précarité, et Élisa Martin, présidente d'Actis et première adjointe, avaient décliné l'invitation.
« Entre un bâtiment pas chauffé, sans électricité ni eau, et la rue, le choix est vite fait ! »
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