FOCUS - Le collectif Grenoble Nouvel air, constitué autour d'Olivier Noblecourt, a dressé un premier bilan de la mandature d'Éric Piolle, ce lundi 9 décembre. Politique sociale, transports, démocratie participative, logement, sécurité, culture, sport, emploi… Autant de thématiques passées au crible d'une critique sans concession. Le collectif l'assure, si tout n'est pas forcément à jeter, l'équipe sortante pouvait mieux faire.
C'est devant l'ancienne bibliothèque Prémol, au Village olympique, que nous ont donné rendez-vous, ce lundi 9 décembre, quelques membres du collectif Grenoble Nouvel air. Une manière pour ces militants soutenant la (probable) candidature d'Olivier Noblecourt de souligner en creux le manque d'intérêt de la municipalité pour certains quartiers de la ville.
L'objet de cette entrevue ? « L'analyse critique » et sans concession du bilan de la majorité sortante, axée principalement sur ses aspects sociaux. Mais pas seulement, puisque l'équipe qui ne « prétend pas à l’exhaustivité » a compilé d'autres thématiques pour en dégager les axes saillants.
Notamment les transports, la démocratie participative, le logement, la sécurité, le sport, la culture, l'emploi… « Autant de marqueurs importants qui permettent de voir le visage réel de cette municipalité en fin de mandat », explique David Bousquet. Les sources du collectif ? Les données ouvertes (open data), le site de la Ville, le budget, les comptes administratifs et compte-rendus de mandat et, bien sûr, les engagements de campagne d'Éric Piolle.
« À chaque fois qu'il y a eu des choix budgétaires, c'était au détriment des plus fragiles »
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