TROIS QUESTIONS À - Yannick Belle, vice-président de la Métropole délégué au sport,
nous en dit plus sur les Internationaux de France de patinage qui se déroulent du vendredi 23 au dimanche 25 novembre à la patinoire Polesud de Grenoble pour la deuxième année consécutive. La collectivité a obtenu de la Fédération française des sports de glace, organisatrice de l'événement, une diminution des tarifs afin que ceux-ci ne constituent plus un frein majeur à la venue du public.
Place Gre’net - Quel rôle joue la Métropole par rapport aux Internationaux de France de patinage qui ont lieu du 23 au 25 novembre à Grenoble ?
Yannick Belle - La Métropole met à disposition l’équipement Polesud auprès de la Fédération française des sports de glace pour organiser cet événement. Elle assure aussi, en lien avec la Fédération, la communication sur le territoire.
En dehors de l’aspect “spectacle”, nous montons aussi une opération avec les scolaires de la métropole afin qu’ils puissent assister aux répétitions [entraînements des patineurs, ndlr] à partir du jeudi.
L’an dernier, nous avions 2 300 enfants, du CP au CM2. Cette année – cela peut encore évoluer d’ici à jeudi [l’interview a été réalisée mardi à la mi-journée, ndlr] – nous en sommes à 3 600.
Il y a aussi cette opération-là que nous mettons en œuvre au niveau de la Métropole à côté de l’événement grand public organisé directement par la Fédération française des sports de glace.
Quel bilan avez-vous dressé de l’édition 2017, où la patinoire Polesud accueillait pour la première fois cette compétition ?
Yannick Belle - Un très bon bilan, déjà, en matière d’organisation. Nous avons reçu un label [Golden label, ndlr] de la Fédération des sports de glace pour la qualité de l’organisation de ces Internationaux. C’était une belle récompense pour cette première et pour les équipes de Polesud.
Pour ce qui est des spectateurs, nous étions autour de 5 000 personnes. Nous avons retravaillé notamment sur la politique tarifaire pour essayer d’avoir un remplissage plus important cette année. L'an dernier, c’était une première édition, il y avait des habitudes à prendre sur le territoire en matière d’offre de spectacle international.
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