« En Marche ! est convaincu que l’avenir de la France reste indissociable de celui de l’Europe. » En ce 9 mai, Journée de l’Europe, les comités En Marche ! de Grenoble organisent ainsi un « apéro-citoyen européen pour affirmer leur attachement au projet européen ». Rendez-vous est donné place Victor-Hugo à Grenoble à partir de 17 h 30.
« Pour les comités En Marche ! de Grenoble la célébration de la Journée de l’Europe est l’occasion de réaffirmer cet attachement à la construction européenne et de rappeler ce que les citoyens français et européens doivent à l’Union européenne, trop souvent livrée injustement à la vindicte populaire », écrivent notamment les comités dans leur communiqué.
L’Europe « indispensable au rayonnement des valeurs de la France »
Le mouvement En Marche ! estime que « l’avenir de la France reste indissociable de celui de l’Europe ». Et que l’Europe est « indispensable au rayonnement des valeurs et de la force de la France dans un monde globalisé car les enjeux d’envergure mondiale ne peuvent pas être abordés au seul échelon national ».
« C’est par l’Europe, ajoute encore le mouvement, que l’on peut le plus efficacement soutenir la cause de l’écologie, de la transition énergétique et de la biodiversité, construire notre autonomie énergétique, renforcer la lutte contre le dumping social et la fraude fiscale, aider au développement de l’Afrique, promouvoir le respect des valeurs démocratiques, des Droits de l’homme ou bien sûr œuvrer pour la paix sur tous les continents. »
Un apéro pour « préparer ses doléances. »
Pourquoi un apéro-citoyen ? Parce que l’Europe reste perfectible, juge le communiqué. « Les militants En Marche ! entendent aussi faire de cette journée l’occasion de réfléchir à comment améliorer le fonctionnement de l’Union européenne pour qu’elle réponde pleinement aux défis posés aux Français et aux Européens. »
Une manière d’anticiper sur les « conventions citoyennes » proposées dans le programme du président fraîchement élu Emmanuel Macron ? Les membres des comités En Marche ! affirment en effet vouloir permettre aux Grenoblois de « préparer leurs doléances pour participer au renouveau du projet européen ».