Qui suis-je ?
Question bateau mais néanmoins primordiale. Jeune et rêveur, j’aime les sixties, le rock psychédélique et l’Ouest américain. Je mange des pâtes à la carbonara et porte des chemises de bûcheron tous les jours de l’année, en espérant que quelqu’un remarque un jour mes carreaux de loin dans la rue.
Mais ce qui me donne envie de me lever le matin et de croquer pleinement la vie c’est le septième art, ou le cinéma comme on l’appelle plus communément.
© Corentin Cormons
À votre gauche, vous pouvez me voir devant mes posters et ma DVD-thèque. Je collectionne de nombreux films depuis quelques années pour le plaisir, la passion et les besoins de mes critiques.
Parce que oui, mon truc à moi c’est la critique cinéma.
Je vagabonde sur Internet depuis pas mal de temps et, depuis trois ans, je me suis mis à y partager du contenu culturel (compositions musicales, courts métrages, scénarios…) au plus grand nombre. Aujourd’hui, ma démarche a bien évoluée ; créatif dans la vraie vie et apprenti réalisateur-scénariste à mes heures perdues, j’anime une chronique numérique qui rencontre un petit succès sur YouTube, laquelle se concentre sur les chefs‑d’œuvre oubliés du cinéma d’art et d’essai. J’ai nommé No Running In Corridors. Ouvrir ce blog est en quelque sorte la continuité rêvée de cette dernière.
© Corentin Cormons
Pourquoi ce blog ?
Le cinéma qui me fait vibrer se trouve partout : chez Jeunet, Dupieux, Anderson, Almodóvar ou encore Gilliam. Mais il se trouve aussi chez d’autres, dans les recoins les plus mal éclairés, quoi que l’on en dise.
Même si, de vous à moi, j’ai embrassé le septième art avec le cultissime Pulp Fiction du maître Tarantino, j’éprouve un amour tout particulier pour ces films insolites, méconnus, obscurs et étranges, qui peuvent, eux, se vanter de décontenancer les critiques les plus chevronnés.
Mon objectif avec ce blog est de vous faire découvrir un maximum de films, si tant est qu’ils soient programmés dans les cinémas de Grenoble. Rassurez-vous, il y en aura et je les dénicherai pour vous.
Maxime Ducret