ENTRETIEN - A quelques jours du déplacement à Grenoble de la secrétaire d’État chargée du numérique, Axelle Lemaire, ce vendredi 12 septembre, Jean-Pierre Verjus, pilote de Digital Grenoble - ou DigiGre - soutenu par La Métro, revient sur la candidature locale à la French Tech. Après sa finalisation dans un mois, une dizaine de villes seront labellisées dans l’Hexagone à la fin de l’année.
Né en 1943 à Annecy, diplômé de l’Ensimag dans les années 1960, Jean-Pierre Verjus a posé ses valises dans des universités du monde entier, de Lausanne à Montréal en passant par la Bretagne. Il y a créé plusieurs départements en lien avec le numérique, puis est revenu à Grenoble, où il a notamment été directeur de laboratoires du CNRS et de l’Inria. Membre du Conseil supérieur de la recherche et de la technologie de 1995 à 2001, il a été fait chevalier de la légion d’honneur en 2008.Fleur Pellerin, ancienne secrétaire d’État en charge du numérique, a lancé en début d’année un appel à labellisation French Tech. Quel est l’objectif de cette initiative ?
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