FOCUS – D’abord classé de niveau 2, l’incident survenu sur un chantier de démantèlement du CEA de Grenoble en août 2013 a été reclassé en niveau 1 par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Pour le gendarme du nucléaire, il n’y aurait pas eu dépassement de dose sur un travailleur, mais mauvaise utilisation des appareils de mesure de la radioactivité.
Le jeune travailleur était sorti de son silence en janvier 2014 pour pointer les lacunes sur les chantiers du CEA et de l’institut Dolomieu © Véronique Serre – placegrenet.fr
D’après ce salarié, le dosimètre affichait 40 000 microsieverts/heure. © Véronique Serre – placegrenet.fr