REPORTAGE VIDÉO - «Des aménagements vélo, on en veut maintenant», réclament les militants d'Alternatiba / ANV-Cop 21 et de Parlons-Y Vélo. Une quarantaine d'entre eux sont passés à l'action, ce samedi 26 novembre 2022 à Saint-Martin-d'Hères, près de Grenoble. Ils ont retracé, à l'aide de peinture et de leur propre matériel de chantier, l'ex-piste cyclable TempoVélo de l'avenue Gabriel-Péri, sur près d'un demi-kilomètre. Une action symbolique pour inciter les élus à sécuriser les déplacements à vélo dans le péri-urbain.
«C'est la première action de cette ampleur», s'est réjouie Carole Kaouane, cofondatrice du collectif Parlons-Y Vélo, à la fin de l'opération de «désobéissance civile non violente» organisée ce samedi 26 novembre tôt dans la matinée à Saint-Martin-d'Hères. Une opération rondement menée par une quarantaine de militants du collectif Parlons-Y Vélo et d'Alternatiba/ ANV-Cop 21 consistant à retracer une portion de l'ancienne piste cyclable TempoVélo de l'avenue Gabriel-Péri.
Depuis Grenoble, l'avenue Gabriel-Péri est une 2x2 voies qui traverse Saint-Martin-d'Hères, dessert une vaste zone commerciale dont le futur centre Neyrpic, le campus universitaire de Saint-Martin-d'Hères, puis rejoint une départementale menant à la commune de Gières.
"Une piste cyclable, ici, a du sens pour les habitants"
«On se trouve ici dans une zone commerciale avec une quantité de voitures. Quitte à venir faire ses courses ou consommer au Mac Do, autant venir en vélo !», explique Carole de Parlons-Y Vélo.
Et Loïc Michel, militant d'Alternatiba/ ANV-Cop21, d'ajouter : «Une piste cyclable, ici, a du sens pour les habitants qui veulent venir depuis Gières en vélo ou en VAE travailler sur Saint-Martin-d'Hères ou Grenoble à vélo. »
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11 réflexions sur « A Saint-Martin-d’Hères, près de Grenoble, des militants pro-vélo aménagent une pseudo-piste cyclable »
Marre de tout ces bobos ecolos ! Il n’y a plus de Grenoblois dans cette ville, que des bobos qui ont quittes leur ville pourri pour venir reproduire leur délires ecolos ici, à l’image de Piolle qui devrait retourner essayer d’emmerder les Palois. Les cyclistes ne respectent rien et surtout pas le code de la route ! Heureusement bientôt avec le froid on les verra moins ! Allez plutôt vous immoler dans un stade du Quatar .
Merci Mr Troll j’ai bien ri !
C’est bien Robert, va prendre tes sédatifs et te recoucher au lieu de parler de bobo et de Qatar.
Il y a malheureusement de pauvres gens habitants de la vallée du gresivaudan qui ne peuvent pas faire 30km à vélo pour venir faire des courses en famille et surtout les rapporter au retour…
Ils peuvent toujours le faire, les cyclistes sont maintenant mieux protégé.
Si ces personnes qui viennent faire leur course à 30km on peur des bouchons à eux et aux autres automobilistes de s’arranger entre eux (train, covoiturage..) Il va bien falloir reprendre un peu de l’espace aux bagnoles
Si les courses alimentaires demandent 30km AR en voiture il faut se poser les bonnes questions ! Les habitants de ces zones denses ont ils le droit a etre dn sécurité en vélo ?
Ou bien le consumériste à 30km est si pressé et prioritaire ?
Il y a le tramway mais les transports en commun ne plaisent pas aux individualistes sur deux roues.
Sérieusement ? Le tramway comme seule alternative à la voiture ? Il faut laisse le monopole de l’individualisme aux automobilistes à vous en croire ?
Vélos et tramway sont un doublon car ils desservent les mêmes distances courtes ou moyennes, tandis que les voitures permettent d’aller loin.
C’est pour ça qu’en réalité le vélo est beaucoup plus un compétiteur (voire un ennemi) des transports en commun que de la voiture. C’est un fait avéré que les individualistes sur deux roues n’aiment pas qu’on dise.
C’est tellement faux ! Le velo esg une mobilité autonome alirs qie les transport en commun dont inefficace pour les zones peu denses.
Vu la saturation des trams dans le centre, relercions kes cyclistes du centre.
Un velo a assistance électrique fait 10km a/r pour travailler toute l’année sans être sportif !
Dans les zones moins denses il y a les bus. C’est un fait avéré, à Grenoble comme ailleurs, que le vélo est un individualisme qui se développe au détriment des transports en commun.