FOCUS - Des militants du PCF Isère, et plus précisément de sa section d'Échirolles, se sont donné rendez-vous devant l'Hôpital Sud du CHU Grenoble Alpes jeudi 18 février pour une séance de distribution de tracts. Objectif? Dénoncer les mesures prises par le gouvernement vis-à-vis de l'hôpital comme de la Sécurité sociale. Et mieux mettre en avant les initiatives de la municipalité PCF d'Échirolles dans le secteur de la santé.
Le Parti communiste français de l'Isère, et plus particulièrement sa section d'Échirolles, se porte au secours de l'hôpital. C'est en tout cas le message que quelques-uns de ses représentants ont porté le jeudi 18 février devant l'Hôpital Sud du CHU Grenoble Alpes, situé à Échirolles. En compagnie de syndicalistes hospitaliers, et dans le cadre d'une campagne nationale du PCF baptisée "Notre santé n'est pas à vendre!", les militants ont distribué des tracts et proposé de signer une pétition à l'intention du gouvernement.
Dans le collimateur? Le Ségur de la Santé, désigné comme un "grand raout, mené en un mois et demi express" et qui s'avère décevant pour les communistes. "Seulement 5 à 10 % d’étudiant-es infirmier-es en plus à la rentrée 2021, doublement des places de formation pour les aides-soignant-es et 15 000 embauches chez les paramédicaux", décrivent-ils dans leur tract. Des annonces bien éloignées des revendications portées par le mouvement social hospitalier initié en 2019.
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