EN BREF – Les élus ont voté la préemption par la Métropole de Grenoble des murs de la clinique mutualiste. Par un vœu et après coup. De quoi faire sortir certains d’entre eux de leurs gonds quant à la méthode employée par le président de la Métro. Et s’interroger sur les garanties apportées au-delà de l’acquisition des bâtiments.
L’avenir de la clinique mutualiste, et la décision de la Métropole de Grenoble de préempter les bâtiments pour couper l’herbe sous le pied de Doctegestio ‑Avec, s’est formalisée dans… un vœu. Pas de délibération lors du conseil communautaire, ce 29 janvier donc. Et surtout un débat après coup, comme s’en est agacé Michel Savin du groupe d’opposition Communes au cœur de la métropole.
« Vous avez pris un arrêté sans en informer le conseil métropolitain. Aujourd’hui, avec votre majorité, vous présentez un vœu pour soutenir la demande de préemption que vous avez déjà engagée ! C’est prendre l’ensemble des élus métropolitains pour des godillots ! »
50 millions d’euros un prix trop lourd sur la charge locative ?
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