Chez le rat Lewis, un gène empêche le parasite de la toxoplasmose de contaminer l’organisme. C’est ce que vient de découvrir une équipe de chercheurs grenoblois, alors que toxoplasma gondii continue d’être une menace pour les fœtus des femmes enceintes non immunisées.
Pourquoi des rats résistent-ils mieux que le commun des mortels au parasite de la toxoplasmose qui, chez la femme enceinte non immunisée notamment*, fait planer la menace de malformations graves du fœtus, voire de mort prématurée ?Image microscopique d’une cellule humaine infectée par toxoplasma gondii avec la formation d’une rosette de 8 parasites. © Crédit CNRS/Inserm.