Après plus de sept mois de travaux, le Cinéma art & plaisirs (Cap) de Voreppe rouvrira ses portes au public le 13 décembre prochain. Parmi les nouveautés, un écran supplémentaire, des fauteuils plus modernes et confortables, ou encore l’insonorisation des salles. Le tout avec une meilleure accessibilité aux locaux pour les personnes à mobilité réduite.
Fermé depuis mai dernier, l’ancien cinéma Art et Plaisir (AEP) de Voreppe, rebaptisé Cinéma art & plaisirs (Cap), va bientôt prendre un nouveau départ. Rendez-vous est ainsi donné le 13 décembre prochain, devant son grand écran, pour la projection du huitième épisode de la saga Star Wars, Le dernier Jedi.
Ce sera le coup d’envoi d’une programmation riche et diversifiée qui se poursuivra tout au long de l’année 2018 à travers une large série de rencontres. Au menu : de nombreuses soirées à thèmes, des discussions avec le public, et même des séances de cinéma en plein air, prévues en été.
Une modernisation du cinéma qui devrait redynamiser le centre-ville
Agrandi et rénové de fond en comble, le cinéma municipal sera doté d’une seconde salle, pouvant accueillir jusqu’à 50 spectateurs. Quant à la salle déjà existante, d’une capacité de 167 places, elle a complètement changé de visage grâce à l’installation de fauteuils relevables, plus modernes et confortables.
Les autres nouveautés ? En plus de l’amélioration de l’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite, la refonte du parvis, le réaménagement du hall d’accueil, l’insonorisation des locaux, ou encore la mise en place d’un système de climatisation.
« Ces travaux s’inscrivent dans une démarche contextuelle et environnementale », soulignait Anne Gérin, adjointe à l’urbanisme à Voreppe, lors de la présentation du projet en conseil municipal. Et de préciser : « Il est en effet important de réussir l’intégration architecturale et environnementale de l’aspect extérieur du bâti[ment] dans la perspective de la redynamisation du centre bourg. »
Financé par le Centre national du cinéma, la Région Auvergne Rhône-Alpes et le Département de l’Isère, le chantier a coûté, au total, environ 1,1 million d’euros.
GC