FOCUS – Nouvelle étape dans la cam­pagne d’Hervé Gerbi, can­di­dat cen­triste aux élec­tions muni­ci­pales de Grenoble. L’avocat a pré­senté son affiche, son logo et son slo­gan, avec de nou­velles pro­po­si­tions en direc­tion des aînés et des éco­liers, mais aussi concer­nant la taxe fon­cière. S’il annonce une accen­tua­tion des trac­tages et du porte-à-porte, il pro­pose un outil conver­sa­tion­nel à base d’in­tel­li­gence arti­fi­cielle sur son site Internet.

Une pho­to­gra­phie en noir et blanc, un nom de liste (« Nous Grenoble »), un slo­gan (« Le souffle, la force ») et un logo repré­sen­tant la ville, les mon­tagnes, les “bulles” et la rivière Isère… C’est ainsi que se com­pose l’af­fiche de cam­pagne d’Hervé Gerbi, can­di­dat aux élec­tions muni­ci­pales de Grenoble. Une affiche révé­lée à l’oc­ca­sion d’une ren­contre avec la presse, ven­dredi 31 octobre 2025, avec, à ses côtés, ses co-res­pon­sables de cam­pagne Hakima Necib, Adam Thiriet et Raphaël Meyer.

Hakima Necib et Hervé Gerbi dévoi­lant l’af­fiche de cam­pagne. © Florent Mathieu – Place Gre’net

« Nous Grenoble » ? Le pro­nom n’est pas ano­din pour Hervé Gerbi. « Le “nous” a cette fonc­tion d’i­den­tité gre­no­bloise que l’on retrouve dans le logo, cette fonc­tion de ras­sem­ble­ment », explique le can­di­dat. Quant au slo­gan, « le souffle rap­pelle la capa­cité à libé­rer parce que, dans le pro­gramme, nous allons libé­rer des éner­gies, des capa­ci­tés d’ac­tion. Et la force, c’est une habi­ta­bi­lité robuste, une ville qui fait déve­lop­per l’é­co­no­mie, les indi­vi­dus », décrypte-t-il.

« Les Grenoblois ne nous par­don­ne­raient pas de ne pas être en campagne »

Réalisée par une société pres­ta­taire dont Hervé Gerbi refuse de divul­guer le nom, l’af­fiche doit tout d’a­bord être tirée à 6 000 exem­plaires puis col­lée sur les murs de Grenoble dans un laps de temps assez court. Pour cela, Hervé Gerbi s’ap­puie sur une équipe d’une cin­quan­taine de béné­voles, dont une quin­zaine de col­leurs réguliers.

À cette action s’a­joutent les trac­tages déjà en cours, une mon­tée en puis­sance du porte-à-porte, l’or­ga­ni­sa­tion pro­chaine d’une réunion publique et l’ou­ver­ture d’un local de cam­pagne en centre-ville.