Finie la Biennale de l’habitat durable, organisée à Grenoble depuis 2006. Place désormais à la Biennale des villes en transition, du 9 au 12 mars 2017. Un changement d’appellation qui vise à montrer que le débat ne portera plus seulement sur l’habitat mais sur le système urbain dans son ensemble.
La Biennale des villes en transition permettra ainsi d’aborder les thématiques de la transition énergétique, de la réinsertion de la nature dans la ville, du bien-être des populations urbaines ou encore de la valorisation des initiatives citoyennes.
Pourquoi la ville en particulier ? Parce qu’elle constitue le cœur de l’activité économique, politique et culturelle. Et donc la base des changements dans les modes de vie. D’où la nécessité de la repenser dans son intégralité, des infrastructures de transports au traitement des déchets en passant par la consommation énergétique.
Mobiliser la ville et ses acteurs
L’objectif de la Biennale des villes en transition ? Sensibiliser les populations et les professionnels à la transition urbaine, et plus largement au développement durable. Le tout via des conférences, tables rondes et animations afin d’aborder les différentes solutions aux problèmes rencontrés aujourd’hui dans les villes.
Une façon de mobiliser un maximum d’acteurs, citadins comme experts, dans les domaines de l’urbanisme, de la construction et de l’énergie. Chacun pouvant agir à son niveau pour répondre aux grands enjeux actuels.
CL